Le meilleur appareil photo Superzoom

Nous avons passé plus de 20 heures à rechercher et à tester les appareils photo type « bridge ». Les « bridge » ou « superzoom » offrent une couverture multi-lentille qui imite le style d’un appareil photo reflex numérique, tout en étant aussi faciles à manipuler. Ils sont indiqués pour partir en vacances, quand un sac plein de lentilles ne serait que peu pratique à emporter. Et leur plus grande taille se reflète dans les boutons et les cadrans externes, qui vous permettent d’ajuster les paramètres de l’appareil sans plonger dans les écrans de menu. Mais ne laissez pas le style de l’appareil reflex vous tromper : les superzoom sont essentiellement des appareils compacts équipés d’énormes lentilles. Leur qualité d’image est mieux adaptée à la visualisation en ligne ou aux petites impressions.

Notre « bridge » de cœur

Idéal pour vos escapades, un superzoom vous permet d’immortaliser paysages et monuments et saura vous combler. Nous recommandons le Nikon Coolpix P610 comme l’appareil photo superzoom à acheter. Il dispose d’un capteur d’œil qui permet de passer facilement de l’écran LCD arrière au viseur électronique, d’un support GPS intégré pour ajouter automatiquement des données de localisation à vos photos de vacances et d’un objectif zoomant jusqu’à 1440 millimètres de focale. Vous pouvez trouver certains de ces attributs dans d’autres appareils du genre, mais le P610 est le seul modèle qui les rassemble tous dans un appareil de taille raisonnable. De plus, le P610 produit des photos nettes avec des couleurs vives et peut les transférer rapidement à votre téléphone. Tout cela dans un appareil plutôt simple à utiliser sans avoir à ouvrir le manuel et suffisamment léger être transporté au cours de vos promenades sans mettre à l’épreuve votre cou ou vos épaules.

Le Nikon Coolpix P610, pour qui ?

Les bridge vous permettent à la fois des photos grand angle et des objectifs extrêmes sans devoir changer de lentille. Bien qu’ils imitent la conception et les contrôles des appareils photos reflex numériques, ces appareils sont plus petits, plus légers et moins coûteux. Leur qualité d’image est identique à celle d’un appareil « point-and-shoot » typique et légèrement meilleure que celle d’un smartphone. La qualité des photos paraît bonne lorsque vous les partagez en ligne, bien qu’elle se dégrade lorsque vous photographiez avec des valeurs ISO plus élevées.

L’attrait pour les superzoom réside dans la possibilité de zoomer à des grossissements beaucoup plus élevés que ce vous pourriez faire avec tout autre type d’appareil. Notre premier choix, le Nikon Coolpix P610, peut zoomer jusqu’à 1440 millimètres, assez pour vous permettre de voir les rideaux d’une fenêtre dans un immeuble distant de 800 mètres.

Si vous avez besoin d’une portée très longue pour capturer la faune ou votre enfant en plein exercice sportif, ou si vous privilégiez la commodité d’un objectif qui fait tout et que vous n’exigez pas une qualité d’image critique, il sera difficile de trouver mieux qu’un superzoom. En bonnes conditions de luminosité, vous pouvez capturer assez de détails pour faire une belle impression 8×10. Attention : avec un superzoom, vous payez pour la commodité de laisser un paquet de lentilles à la maison, pas pour une qualité d’image de niveau professionnel…

Passer à la gamme supérieure ?

Si vous avez acheté un appareil superzoom depuis quelques années déjà, vous aurez remarqué que les gammes de zoom se sont élargies de façon spectaculaire. En 2012, Canon a lancé le premier zoom 50x. Aujourd’hui, les superzoom 60x sont monnaie courante.

Abandonner un appareil d’entrée de gamme et bon marché comme le Canon PowerShot 350 HS vous permettra de faire un grand saut dans la gamme de zoom, en disposant de plus de contrôles manuels et d’un viseur électronique. Mais attention, la qualité d’image demeurera essentiellement la même.

Néanmoins, si vous avez un superzoom vieux de quatre ans qui offre seulement un zoom 24-30x, qui vous oblige à recadrer vos images, il serait temps d’envisager de passer au niveau supérieur. Si vous possédez un appareil photo reflex numérique (DSLR) d’entrée de gamme ou d’un appareil sans miroir mais que vous ne souhaitez pas le trimbaler pendant vos vacances, un superzoom aura l’avantage d’alléger sensiblement la charge pour une qualité d’image de haut niveau.

Nos critères de sélection

« Superzoom » ou « bridge » se réfère à un appareil à lentille fixe conçu pour procurer beaucoup de grossissement sans avoir à investir dans un reflex numérique et des lentilles supplémentaires. La plupart des superzoom sont identifiables par leur bosse qui accueille l’EVF, un cadran de mode, et des boutons qui permettent de modifier facilement les paramètres de base de prise de vue.
Après avoir déterminé les critères de base d’un objectif zoom 50x ou plus, d’un EVF et de contrôles manuels, nous avons éliminé les modèles avec de sérieux inconvénients tels que l’utilisation de capteurs CCD de technologie ancienne (les capteurs CMOS sont maintenant la norme), une dépendance aux batteries AA au lieu d’unités rechargeables ou un fonctionnement exceptionnellement lent lors de la mise sous tension ou de la modification des paramètres.
En fin de compte, nous avons rétréci la liste des prétendants pour notre choix principal à seulement trois modèles : le Panasonic Lumix FZ1000, le Nikon Coolpix P610 et le Nikon Coolpix P900. Ayant trouvé relativement peu d’analyses de la part de sites fiables, nous avons utilisé ces trois modèles durant quelques jours et comparé les résultats.

Notre choix

Le splendide Nikon CoolPix P610
Après avoir mis à l’épreuve ces trois candidats au titre de meilleur appareil photo superzoom, notre choix final s’est porté que le Nikon Coolpix P610. Il possède toutes les caractéristiques les plus importantes – contrairement aux autres modèles – comme le capteur optique, l’écran arrière et le viseur électronique, faciles à brancher. Son support GPS intégré ajoute automatiquement les données de localisation aux photos et son objectif atteint une focale incroyable de 1440 mm. Vous pouvez trouver certaines des caractéristiques du P610 dans d’autres appareils superzoom, mais c’est le seul modèle qui les combine tous dans un appareil au format raisonnable.
Ce superzoom 60x vous permet de prendre des paysages à balayage ou des gros plans sans avoir à vous alourdir d’un tas de lentilles. La qualité d’image répond aux attentes d’un superzoom : sous bonnes conditions de luminosité, les images obtenues sont nettes, naturelles et demeurent excellentes quand vous les partagez par courrier électronique, sur les réseaux sociaux ou que vous les visualisez dans votre navigateur web. Comme la plupart des superzoom actuels, le P610 dispose d’un EVF haute résolution, d’un écran arrière qui pivote, d’un sélecteur de mode et de boutons de commande externes qui évitent d’avoir à plonger dans le menu pour modifier les réglages de prise de vue.

Le paysage sans zoom

Le même paysage après le zoom 60x sans bouger de votre place
Le P610 est l’un des rares superzoom avec un capteur oculaire qui désactive automatiquement l’écran arrière et active l’EVF lorsque vous rapprochez l’appareil photo de votre visage. Bien que cela puisse sembler une fonctionnalité banale, à l’usage, un capteur d’œil affecte considérablement votre expérience d’utilisation de l’appareil photo. D’une part, devoir appuyer sur un bouton peut vous amener à manquer un détail important de la photo prise. Et tandis que beaucoup préfèrent utiliser un écran arrière pour composer une image (comme ils le feraient sur un smartphone), l’EVF s’avère parfois une meilleure option. Par exemple, lors de journées ensoleillées, l’éblouissement peut rendre la scène impossible à voir sur l’écran arrière ; or, un EVF protège votre prise de l’éblouissement du soleil. Au zoom maximal de 1440 mm du P610, le moindre mouvement de l’appareil peut déplacer votre champ de vision de plusieurs mètres. A moins de vous équiper d’un trépied, coller l’appareil à votre visage et regarder à travers l’EVF est la seule façon de conserver une certaine stabilité et d’assurer des prises précises. En d’autres termes, vous gagnerez énormément à utiliser l’EVF ; et après avoir passé un certain temps avec un appareil à capteur d’œil, vous aurez l’impression de retourner à l’âge de pierre quand vous devrez utiliser un appareil démuni de ces capteurs…
Le P610 est également doté d’un support GPS intégré, une fonctionnalité particulièrement utile en voyage si le logiciel ou les applications mobiles que vous utilisez affichent ce type de métadonnées – l’inconvénient est un nombre de prises de vue inférieur par charge.

En outre, le système de réduction des vibrations du P610 offre des performances impressionnantes. Lorsque vous tenez l’appareil photo en main, le système VR déplace des éléments à l’intérieur de l’objectif pour contrebalancer tout mouvement de l’appareil et renvoyer une image nette. Dans la pratique, le système a très bien fonctionné : en photographiant en intérieur, nous avons pu obtenir des images nettement claires à des vitesses d’obturation de quatre à cinq arrêts plus lents que ce qui est possible sans le VR activé. Le système VR a été un peu moins efficace quand nous avons zoomé tout au long de la focale maximale du P610 (1440mm), mais les images restaient encore utilisables. Bien sûr, pour obtenir une netteté critique quand vous zoomez en continu, vous aurez besoin d’utiliser un trépied… sauf que le système VR de l’appareil fonctionne assez bien pour faire office de trépied, une option davantage qu’une nécessité.

Un traitement sublime avec un zoom performant
Un levier de zoom secondaire sur le côté de l’objectif offre un moyen efficace de contrôler ce dernier tout en permettant une prise plus stable sur l’appareil photo. Le levier fonctionne à une vitesse plus lente que le levier du zoom autour du déclencheur, ce qui procure un cadrage plus précis.
Il peut sembler étrange que nous soyons allés si loin dans un guide d’appareils photos sans évoquer plus avant la qualité d’image. À quelques exceptions près, la qualité d’image des superzoom est essentiellement la même : la plupart des appareils de cette catégorie utilise le même capteur et fournit des résultats comparables. Les images seront superbes à l’écran jusqu’à environ 1600 ISO. Pour noter des différences entre les appareils, vous devrez regarder les images sur votre écran à 100% : à ce niveau de grossissement, aucun de ces appareils n’atteindra de toute façon la qualité des appareils sans miroir ou des reflex numériques (DSLR). Lorsque vous partagez des photos sur les réseaux sociaux, les envoyant envoyez par courrier électronique ou en faites de petites impressions, vous ne parviendrez pas à distinguer les différences pour préférer un bridge à un autre – seules les caractéristiques et la maniabilité les différencieront.

Le Coolpix P610 prend en charge la vidéo Full HD avec son stéréo ; vous n’aurez qu’à appuyer sur le bouton d’enregistrement vidéo dédié pour effectuer un enregistrement. Vous pouvez commencer à enregistrer quel que soit le mode de prise de vue : appuyez sur le bouton DISP avant d’entamer l’enregistrement, afin de cadrer la scène. Sur notre sélection de second rang, vous devez régler la molette de l’appareil photo en mode film pour obtenir un cadrage précis.
Comme la plupart des appareils de cette catégorie, les images vidéo de la P610 sont satisfaisantes. En regardant de plus près, vous remarquerez des compressions et des artefacts mais le rendu des détails et des couleurs sera parfait pour le partage sur Facebook ou Twitter.
Le P610 permet d’envoyer des images sans fil à votre appareil mobile et de contrôler à distance le bouton d’obturateur et le réglage du zoom, une excellente façon de prendre des portraits de famille en vacances. La configuration Wi-Fi est rapide et facile : après avoir téléchargé l’application sans fil gratuite de Nikon, appuyez simplement sur le bouton Wi-Fi dédié de l’appareil photo, puis connectez votre téléphone ou votre tablette au réseau de l’appareil. Bien qu’un mot de passe réseau soit désactivé par défaut, vous avez la possibilité d’en créer un. Une fois connecté, votre téléphone vous donne une vue en direct de la scène. En appuyant sur le bouton de l’obturateur à l’écran, l’appareil photo se déclenche et l’image se télécharge sur le téléphone et sur l’appareil photo. Vous pouvez zoomer l’objectif à partir de votre téléphone, mais le zoom est lent – mieux vaut zoomer de la caméra.
Le P610 ne se livre pas avec un chargeur externe. Pour recharger la batterie, vous devez brancher l’appareil photo dans une prise murale ou un port USB via le câble fourni. Certaines personnes préfèrent un chargeur externe : si vous achetez une batterie de rechange, vous pouvez toujours garder votre appareil en pleine charge. D’autres, cependant, détestent l’idée de porter un chargeur externe et préfèrent charger leur appareil photo via le port USB de leur ordinateur portable. Comme il ne s’agit pas de la meilleure façon de charger, si vous préférez un chargeur externe, sachez que Nikon en dispose. Nous avons pu charger une batterie presque épuisée en seulement quelques heures en branchant le câble du P610 dans notre meilleur choix pour les packs de batteries USB ; attention, le manuel de l’utilisateur de Nikon conseille de ne pas utiliser un chargeur autre que celui fourni, soulignant les risques d’endommagement de l’appareil.

Des défauts loin d’être dissuasifs

Tandis que le focus Nikon Coolpix P610 est rapide en extérieur et avec une bonne luminosité, la vitesse et la précision de la mise au point diminuent cependant considérablement en conditions de faible luminosité, en particulier vers l’extrémité téléobjectif du zoom. Pendant un après-midi passé à photographier des sujets dans de faibles conditions d’éclairage, nous avons dû régulièrement faire plusieurs tentatives de mise au point automatique après avoir zoomé à 100mm. Les lentilles ultra long de ces appareils sont connues pour avoir généralement une ouverture étroite maximale qui diminue seulement quand vous zoomez. Et moins la caméra reçoit de lumière, plus il est difficile d’atteindre l’objectif. Si vous filmez souvent à l’intérieur ou la nuit, nous vous suggérons de vous tourner vers un superzoom plus coûteux avec grand capteur, comme le Panasonic Lumix DMC-FZ1000, dont l’objectif à large ouverture offre une focalisation beaucoup plus rapide.

Difficile de garder votre sujet dans le cadre, à des niveaux d’agrandissement aussi élevés, le moindre mouvement de caméra pouvant être fatal. Pour pallier cet inconvénient, le P610 dispose d’un bouton d’assistance zoom à côté de l’objectif : le fait de le presser et de le maintenir temporairement zoome la caméra loin pour un champ de vision plus large, avec une superposition d’écran montrant le cadrage de votre réglage de zoom actuel. Relâcher le bouton vous ramène à votre vue agrandie. Le problème est que le processus est assez lent. Pour des sujets comme l’architecture, ce n’est pas un problème mais si vous essayez de suivre un animal en déplacement rapide, au moment où l’objectif fait son petit zoom, votre sujet aura probablement disparu.

Le P610 peut photographier sept images par seconde en mode rafale, pas aussi rapide que le Finepix S1 de Fujifilm, qui shoote à 10 fps mais cela demeure assez rapide pour photographier des matchs de football le week-end. La fonctionnalité a cependant deux limitations. Premièrement, après une série de sept coups consécutifs, vous devez faire une pause avant de reprendre, le temps que l’appareil photo efface son tampon. Avec une carte mémoire rapide, l’attente sur le P610 ne dépasse pas trois ou quatre secondes, soit un temps d’attente inférieur à celui de son prédécesseur, le P600, qui exige pour sa part près de 30 secondes. Deuxièmement, les utilisateurs avancés pourraient rechigner à photographier en mode programme pour obtenir ce taux de rafale – souvent, ces utilisateurs préfèrent le mode priorité d’obturateur pour les plans d’action. Nous pensons toutefois que la plupart des utilisateurs ne trouveront pas ces limitations gênantes.

Le Nikon Coolpix P610 n’a pas la capacité de faire des photos en mode brut, contrairement à bon nombre de ses rivaux. La prise de vue en mode brut donne une image aux informations plus détaillées sur la scène du capteur d’image de l’appareil photo qu’un JPEG, sans aucun traitement pouvant entraîner des artefacts ou des détails maculés. Les photographes expérimentés qui ont besoin de tous les détails de leurs photos préfèreront travailler sur des fichiers bruts car ils contiennent plus d’informations sur l’image et peuvent donc résister à des ajustements d’édition plus agressifs pour la luminosité, le contraste et la balance des blancs.
Cependant, l’inconvénient réside dans le fait que les fichiers bruts occupent plus d’espace de stockage, requièrent un logiciel d’édition de bureau spécialisé et finissent par être exportés vers un type de fichier plus universellement lisible comme JPEG avant de pouvoir les partager sur les réseaux sociaux ou les télécharger sur un site web. Et à ces tailles réduites de visualisation sur internet, le détail supplémentaire ne sera même pas visible. Pour la plupart des acquéreurs de superzoom, l’absence de mode brut n’est pas rédhibitoire.

La concurrence

Nous avons commencé notre analyse avec une panoplie d’appareils bridge afin de dénicher l’heureux élu. Après des tests approfondis, nous nous sommes retrouvés avec trois modèles : notre premier choix, le Nikon P610, le Panasonic Lumix DMC-FZ1000 pour un budget nettement plus confortable et un zoom inférieur, et le Nikon P900 avec son impressionnant zoom 83x.

Beaucoup plus cher pour une image époustouflante mais un zoom inférieur, le FZ1000
Coûtant environ 118 euros de plus, le Panasonic Lumix DMC-FZ1000 est une excellente mais coûteuse alternative si vous préférez une qualité d’image supérieure à la gamme de zoom extrême. Le FZ1000 fait partie d’une nouvelle génération de bridge équipée de gros capteurs 1 pouce comme dans les appareils haut de gamme des séries Nikon 1 et Sony RX100. Quatre fois plus grand que ceux généralement utilisés dans les superzoom, ce capteur saisit beaucoup plus de détails dans les zones lumineuses et sombres d’une scène. Les images de la FZ1000 sont toujours belles quand vous les visualisez en plein écran sur votre moniteur. L’inconvénient est que vous devrez vous passer près de quatre fois la portée du zoom.
Le FZ1000 dispose d’un zoom 16×25-400mm mais sa plage d’ouverture maximale de f/2,8 à l’extrémité large et f/4,0 à la fin du téléobjectif vous permettra de flouter les arrière-plans pour faire ressortir votre sujet ; cela vous permettra également d’utiliser des réglages ISO inférieurs dans les scènes de nuit et d’intérieur pour des images plus propres et plus naturelles que celles que vous obtiendriez de notre meilleur choix. Le FZ1000 enregistre même en vidéo 4K. Un viseur OLED haute résolution, une vitesse de prise de vue 12-fps et une vidéo super-slow-motion s’ajoutent à une liste déjà remplie d’impressionnantes fonctionnalités.

Zoom impressionnant mais taille et poids loin d’être pratiques, Nikom Coolpix P900
Pour un prix similaire à celui du P610, le Nikon Coolpix P900 a un zoom sans précédent de 83x pour photographier les cratères de la lune! Mais le P900 pèse autant qu’un DSLR milieu de gamme avec un kit de lentilles et prend de la place dans votre sac pour un prix autrement plus élevé… Photographiez dans la rue, à la maison ou à l’étranger, et vous attirerez à coup sûr l’attention avec ces ultra-téléobjectifs – l’objectif du P900 s’étend sur plus de 17,5cm du corps de l’appareil au zoom maximum. Pour la plupart d’entre vous, un zoom de 60x ou 65x, comme celui de notre meilleur choix, est amplement suffisant pour leurs besoins en photo, et vous épargnera le poids et les dimensions considérables du P900.