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]]>Pour placer vos écouteurs efficacement et proprement, vous aurez besoin de vos deux mains. Saisissez la partie inférieure ou supérieure de votre oreille en tirant doucement vers l’extérieur à l’aide d’une main, tout en enfonçant l’embout de l’oreillette dans le canal auditif à l’aide de l’autre main. Dans certains cas, il peut s’avérer utile de bouger l’oreillette jusqu’à ce qu’elle soit bien en place. Une fois que vous la sentez insérée bien profondément, relâchez votre oreille. L’oreillette ne devrait plus bouger. Répétez cette procédure autant de fois que nécessaire.
La plupart des écouteurs intra-auriculaires sont fournis avec des embouts en trois tailles différentes. Normalement, l’embout de taille moyenne est préinstallé sur les écouteurs et les deux autres sont inclus dans l’emballage. Si vous sentez que l’oreillette n’est pas maintenue correctement, utilisez un embout plus grand. À l’inverse si l’embout est bien placé mais qu’il vous provoque une gêne, utilisez l’embout plus petit. Il est d’ailleurs parfaitement possible que chacune de vos oreilles nécessite un embout différent en termes de taille.
Pour nettoyer les embouts, retirez-les des écouteurs et lavez-les à l’eau chaude avec un peu de liquide vaisselle. Rincez et séchez-les avant de les replacer. Retirez les embouts des écouteurs en tirant doucement vers l’extérieur et replacez-les (après qu’ils aient complètement séché) en les poussant doucement jusqu’à ce qu’ils soient bien maintenus.
Notez que la plupart des écouteurs intra-auriculaires ne sont pas imperméables à l’eau ; il va falloir par conséquent faire vraiment attention et ne les passer sous aucun prétexte sous l’eau. Si vous apercevez un tout petit peu de saleté à la surface, essuyez-les avec un tissu humide sans aller jusqu’au lavage.
Vous le savez bien : il n’y a rien de mieux que d’installer vos écouteurs avec le volume poussé à fond pour vous isoler du monde et plonger dans le vôtre… Nous vous arrêtons. Si, il y a mieux : vos capacités auditives. L’utilisation prolongée d’écouteurs à volume élevé peut provoquer des pertes d’acuité auditive irrémédiables. Il est possible que vous soyez tellement habitués à un volume élevé qu’il vous parait normal mais attention, ce n’est pas le cas ! Vous êtes en train de vous ruiner les oreilles sans vous en rendre compte. Adoptez un niveau de volume approprié si vous n’avez pas envie de finir sourd d’ici quelques années. Si vos oreilles sifflent ou si vous entendez des sons étouffés, il faudra songer à diminuer significativement le volume d’écoute voire même, à cesser de les utiliser.
De grâce, faites-vous contrôler par un ORL pour évaluer l’étendue des dégâts, avant qu’il ne soit trop tard. Son élevé et bonne acuité auditive n’ont jamais fait bon ménage et le prolongement de cette situation est tout ce qu’il y a de plus nocif pour vos tympans. Des amis médecins nous ont filé quelques conseils : limiter les temps d’écoute au cours desquels le volume est élevé, éviter d’augmenter le volume au point de ne plus entendre les bruits ambiants et baisser le volume si vous ne parvenez pas à entendre une personne qui parle à côté de vous. Oui, cela peut paraître absurde puisque nous utilisons des écouteurs justement à cette intention. Mais vous voilà prévenus : consommez votre musique avec modération, vos oreilles vous en remercieront !
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]]>L’article Réinitialiser sa tablette est apparu en premier sur On a Testé Pour Vous.
]]>Pour réinitialiser une tablette Android, vous devez suivre les étapes suivantes :
• Sauvegardez toutes vos données personnelles si vous souhaitez les conserver.
• Allez dans le menu Paramètres puis Sauvegarde et réinitialisation.
• Appuyez sur Rétablir la configuration d’usine.
• Lancez la réinitialisation définitive en appuyant sur Réinitialiser la tablette.
• Revendez votre tablette ou reconfigurez-la à partir de zéro : elle est comme neuve !
Tout aussi simple que sur Android, la réinitialisation de votre iPad se fait en un clin d’œil ! Suivez ces étapes :
• Sauvegardez vos données si vous ne souhaitez rien perdre.
• Déconnectez-vous de votre compte iCloud en allant dans Réglages puis iCloud puis Déconnexion, sinon votre appareil refusera de se formater à zéro.
• Place maintenant aux choses sérieuses : allez sur Réglages puis Général puis Réinitialiser
• Assurez-vous une nouvelle fois d’avoir sauvegardé tout ce qui vous tient à cœur. Appuyez alors sur Effacer contenu et réglages
• Pour finaliser la procédure, indiquez votre mot de passe et confirmez. Votre iPad commencera à se réinitialiser juste après.
• Laissez-le faire, n’interrompez surtout pas la procédure. Une fois achevée, vous disposerez d’un iPad tout neuf !
Et voilà ! N’hésitez pas à effectuer cette procédure dès que la situation l’exige, votre appareil vous en sera reconnaissant !
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]]>L’article Nettoyer son matériel photo en toute sécurité est apparu en premier sur On a Testé Pour Vous.
]]>Pour toute lentille et lunette, la poussière est l’ennemi numéro un. La photographie ne déroge pas à la règle, la poussière possédant cette fâcheuse manie de se glisser un peu partout et de pas trop déranger au début. Mais elle finit par s’accumuler au point d’en devenir trop gênante et de vous interdire, sadiquement, de prendre de jolies photos. Devriez-vous vous en débarrasser dès le début ? Absolument. Comment allez-vous faire pour nettoyer votre matériel fort fragile ? Très bonne question, suivez nos conseils et appliquez-les, votre matériel sera étincelant, comme neuf.
Mettez-vous dans de très bonnes conditions avant de commencer ce périple, vous ne le savez pas encore mais vous allez pratiquer des opérations qui nécessitent une dextérité certaine. Vous allez éliminer de la poussière donc vous devrez le faire dans l’environnement le moins poussiéreux que possible. Nous vous recommandons de travailler dans un espace sain, sans courant d’air et avec le moins de poussière suspendue dans l’air. Evitez d’ouvrir les fenêtres ou de faire le ménage juste avant.
Avant de commencer l’opération, vous allez devoir nettoyer l’extérieur de votre appareil et de votre objectif sans toucher aucune lentille. Un chiffon microfibre propre et légèrement humide fera parfaitement l’affaire ; en revanche, nous vous déconseillons les solvants car ils pourraient endommager votre intérieur. Si vous avez des tâches vraiment tenaces, un petit passage de chiffon et de peu d’huile de coude (ou de savon) s’avèreront plus qu’utiles.
Rassure-vous toutefois : à moins de ne prendre en photo que des environnements assez boueux durant toute une vie, vous n’aurez pas à nettoyer votre appareil assez souvent.
Maintenant que l’extérieur est bien propre, il serait temps de passer aux choses sérieuses, les lentilles. Chaque objectif possède deux lentilles : une frontale et l’autre arrière.
Qu’on se le dise une bonne fois pour toutes, si vous n’avez pas tout ce qu’il faut comme matos pour nettoyer vos lentilles, laissez-les comme telles. Si vous vous y prenez mal vous pourriez les endommager de manière définitive. Gaspiller ainsi des centaines voire des milliers d’euros n’est jamais une bonne idée…
Pour nettoyer un objectif, nous vous conseillons les accessoires suivants, testés et approuvés : ils deviendront vos meilleurs alliés face aux graisses, aux traces de doigt et aux accumulations de poussière.
– Un soufflet, en caoutchouc de préférence
– Un stylo spécialisé, le LensPens
– Des chiffons microfibres doux pour une dextérité optimale
Munissez-vous de vos armes, nous allons entamer les choses sérieuses !
Décollez les grosses poussières à l’aide du soufflet en caoutchouc puis usez du stylo. Cet accessoire à double tête sert en deux étapes : le petit pinceau à poils doux pour retirer les poussières restantes puis la tête qui nettoie les traces de doigt ou les graisses de manière efficace. Allez-y doucement et faites des cercles du centre vers l’extérieur pour nettoyer efficacement et sans dommage votre lentille.
Évitez que l’objectif soit mouillé ; le cas échéant, utilisez du papier optique et tapotez doucement pour absorber l’humidité. Passez ensuite au soufflet puis au LensPen. Essuyer les lentilles alors qu’elles sont mouillées peut provoquer des micro-rayures, à éviter absolument ! En général, utilisez du papier optique ou du papier photo au pire ; vous éviterez les tissus et toute matière abrasive pour vos lentilles.
Quelques micro-rayures ne vous empêcheront pas de prendre une jolie photo, ne devenez pas hyper-maniaque avec votre appareil ! Ces informations vous serviront pour bien l’entretenir, afin qu’il perdure aussi longtemps que possible.
Le miroir sert principalement à la visée et ne risque en aucun cas d’impacter la photo finale. Néanmoins, vous devriez songer à le nettoyer si vous observez des traces gênantes à travers votre viseur optique. Cet objet très fragile étant situé devant le capteur, procédez avec une extrême dextérité ou faites-le nettoyer par un spécialiste. Utilisez le souffleur en caoutchouc pour un petit coup qui décollera les grosses poussières mais n’y touchez pas en profondeur, ce serait risqué pour votre appareil. Orientez celui-ci vers le bas pour éviter qu’un grain de poussière ne tombe dans la cage de votre reflex.
Le capteur est en quelque sorte le noyau de votre appareil et également la pièce la plus exposée aux tâches et aux poussières. Heureusement, lorsque vous le changez, l’objectif n’est pas directement exposé sur les réflex à visée optique car le miroir le protège. En revanche, sur les appareils hybrides, ce capteur est directement menacé à chaque changement d’objectif, il se doit donc de rester très bien nettoyé.
De grâce, ne tentez pas le diable et n’y touchez surtout pas si vous n’êtes pas un habitué, préférez l’emporter dans une boutique d’appareils photo afin que ce pépin soit réglé pour vous. Si vous vous y prenez mal, votre capteur risque d’être rayé et vous pourriez perdre énormément en qualité d’image.
Assurez-vous de deux choses : au début, votre capteur doit être vraiment sale et vous devriez réaliser cette opération dans une chambre à la limite du stérilisé pour éviter toute poussière éventuelle. Des soufflettes et LensPen spéciaux existent sur le marché pour ce type d’opération. La première chose à faire est de décoller toute poussière observable à l’aide de la souflette pour objectifs ; ensuite, si des traces persistent, nous vous recommandons d’utiliser le pinceau doux de votre LensPen afin d’y remédier. Faites de petites rotations du centre vers l’extérieur là où vous observez une trace puis usez de la seconde tête pour finaliser le nettoyage.
Remballez le tout une fois cette opération laborieuse achevée et refaites vos tests afin de vérifier que la poussière est bien partie. Si ce n’est pas le cas ou que la situation a empiré, rendez-vous chez un spécialiste !
Avec le temps et l’usure, l’œilleton de votre viseur pourrait accumuler de la poussière et même des traces. Heureusement que cela n’impacte pas le résultat final mais avouons que ce n’est ni hygiénique, ni pratique de poser ses yeux au milieu de saletés pareilles. Préférez une solution sèche et n’optez en aucun cas pour l’humidité, qui pourrait laisser des traces liquides.
La clairvoyance est votre devise
Afin de conserver votre matériel photographique aussi clean que possible et le nettoyer le moins possible, ayez le réflexe prévention et mettez à profit ces quelques conseils.
La première chose consiste à garder le sac photo bien propre, sans aucune trace de poussière, à moins de le transformer en véritable nid à poussière. Un petit coup d’aspirateur de temps à autre permettra de conserver votre matériel plus longtemps.
Effectuez tous vos changements d’objectifs loin du vent et des courants d’air, véritables vecteurs de poussière. Sur le terrain, vous n’aurez pas toujours le choix mais évitez les problèmes autant que possible en orientant votre appareil vers le bas afin de vous assurer qu’aucune autre tâche ne se manifeste pendant le changement.
Transportez votre appareil dans une housse, ne le rangez pas à l’air libre après utilisation pour qu’il n’amasse pas la poussière. Laissez-le dans son sac photo propre lorsque vous ne l’utilisez pas.
Sans tomber dans la paranoïa, ces conseils rudimentaires se révèleront précieux pour conserver un appareil fonctionnel et propre, aussi longtemps que possible. Armés de ce savoir maintenant, soyez à la hauteur et ne laissez en aucun cas votre appareil se salir. À moins de vouloir expérimenter la photographie avec poussières et tâches pour voir l’effet donné, nous vous recommandons d’user de dextérité et de faire de la propreté votre mantra.
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]]>L’article L’ABC de la composition photographique est apparu en premier sur On a Testé Pour Vous.
]]>Plusieurs règles élémentaires cohabitent en photographie mais la plus capitale d’entre elles est la règle des tiers, dite « du nombre d’or ». Sans trop entrer dans des détails complexes, il s’agit d’éviter de placer votre sujet au centre de l’image mais sur le pourtour de cette zone centrale. Idéalement, votre sujet devrait occuper un point fort de la règle des tiers, c’est-à-dire dans les zones qui correspondent aux intersections des lignes imaginaires qui divisent la photo en 3 tiers horizontaux et verticaux. N’appliquez pas cette règle au millimètre près bien évidemment, mais retenez quand même qu’il est préférable de décentrer le sujet surtout dans les photos de format rectangulaire.
De nombreuses études attestent que l’œil parcourt naturellement une image du coin supérieur gauche au point inférieur droit, en formant un « Z » visuel. Décentrer votre sujet et le positionner sur un point fort permet une lecture plus fluide et plus naturelle de la photo, l’inverse pouvant entraver cette dynamique et créer des heurts dans la visualisation de l’image.
En composant votre photo, veillez à ce que votre prise soit facilement parcourable par l’œil humain aussi aisément que possible, créez une photo qui motivera le spectateur à la scruter le plus longtemps possible et à y déceler les moindres détails. Innovez, lâchez-vous, trouvez l’élément magique pour obtenir une photo magique !
Vous allez prendre un sujet afin de bien le mettre en valeur : composer votre photo de sorte qu’elle soit saturée nuirait au résultat. La clé d’une bonne composition réside dans sa simplicité. Excluez du cadre les éléments perturbateurs qui pourraient dévaloriser votre sujet, et jouez sur différents paramètres comme l’ouverture (pour flouter tout élément gênant) ou la mise au point avant la prise. Votre sujet n’en ressortira que mieux.
L’équilibre des composantes de votre photo doit être un souci constant. Ce conseil est valable pour tous les paramètres variables, des couleurs ou des masses aux teintes. L’important pour une photo est qu’elle transmette et fasse vivre une émotion à son observateur : composez et équilibrez votre cliché pour qu’il puisse rendre aussi bien l’harmonie que le chaos.
Quand vous allez prendre votre appareil en main et commencer les prises, ne pensez ni aux règles ni aux techniques. Laissez-vous guider plutôt par ce que vous voulez montrer et agissez en conséquence. Cadrez votre photo puis fermez les yeux un petit moment afin d’imaginer votre composition avant de les rouvrir à nouveau : cette technique de visualisation est utile pour évaluer la pertinence de votre cadrage. Comparez ce que vous aviez en tête avec ce qui se trouve juste devant vous et faites les corrections nécessaires pour vous rapprocher de votre visualisation.
Notez qu’un cadrage optimal est important dès la prise de vue. Certes, vous pourrez toujours modifier, recadrer, redresser ou même déformer cette prise grâce au traitement post-photo sur ordinateur mais vous perdrez en qualité d’image et serez bloqué par la même perspective et le même point de vue. Vous pourriez aussi effacer ou inclure certains éléments avec Photoshop mais pourquoi donc chercher midi à 14 heures ? Portez toute votre attention sur la prise initiale, rien n’est plus important.
Prendre une photo revient à décrire une situation et à exprimer une idée, une émotion et une intention. Ne dissimulez pas cette intention, faites tout ce qui est en votre pouvoir pour la transmettre aussi clairement que possible. Utilisez bien toutes les règles, jouez-en même ! Mais prenez garde à ne pas tomber dans l’excès ni dans le kitsch, tous les éléments de votre image et leur agencement devant traduire votre intention originelle. Ce n’est peut-être pas évident au début mais vous verrez qu’au fil du temps et avec de l’expérience, vous y parviendrez avec les prises de plus en plus complexes. En photographie comme dans toute autre discipline, l’entraînement est la base du succès : la composition deviendra tellement naturelle que vous n’aurez bientôt plus à vous en soucier.
Au tout début, ne tentez pas le diable ! Concentrez-vous sur un seul sujet principal, bien identifiable, qui vous servira de cobaye pour expérimenter toutes les techniques de cadrage simples que vous aurez apprises. Jouez sur son positionnement dans le cadre et sur la mise au point en recomposant l’image, afin d’obtenir des résultats différents. Essayez différentes perspectives et angles de vue pour le même sujet, ne restez pas dans une position unique : déchaînez-vous, bougez votre popotin, quoi ! Tournez autour du sujet, couchez-vous par terre, prenez de la hauteur, cherchez des angles insolites. Seules la recherche et l’expérimentation constantes vous garantiront un résultat appréciable.
Jouez aussi avec les ombres et les couleurs afin de remodeler votre photo, sachant que les tons peuvent modifier toute la perspective et l’idée à l’origine de la prise. Cherchez des modèles répétitifs pour vous aider à composer et à attirer l’œil du spectateur. Expérimentez les différents formats de photos, il existe tout un monde entre les photos horizontales ou verticales rectangulaires. A vous d’essayer !
Quand vous aurez maîtrisé les bases du cadrage, vous pourrez alors passer à des sujets plus complexes qui nécessitent des arrangements plus sophistiqués. Gardez en tête que la simplicité et l’équilibre sont essentiels à la réussite de votre prise.
Au final, suivez votre intuition, faites vos repérages. Observez aussi le travail des autres photographes et tentez d’analyser leur composition, et le processus qui les y a conduits. Tout ce que vous observerez vous sera d’une grande utilité car vous assimilerez ainsi – et rapidement ! – plusieurs techniques qu’il ne vous reste plus qu’à mettre en pratique sur vos propres sujets. Pour tisser, photo après photo, votre propre style, aussi unique que vous.
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]]>L’article Comment réparer son casque ou ses écouteurs audio est apparu en premier sur On a Testé Pour Vous.
]]>Est-il humainement possible de vivre sans écouteurs ni casque ? NON, bien évidemment ! Vous savez à quel point ces accessoires sont indispensables à notre vie quotidienne ! Imaginez-vous prendre les transports en commun sans eux… insupportable ! Mais comme la vie n’est jamais parfaitement rose, il se peut que vos précieux compagnons se détériorent et vous lâchent à un moment ou un autre. La solution de facilité consisterait en racheter mais si vous aimez vraiment vos écouteurs/casque et que le bricolage ne vous fait pas fuir, vous pourriez tenter de les réparer. Comment ? C’est assez simple, suivez nos conseils !
En règle générale, un problème de son sur notre accessoire fétiche provient d’une rupture du câble aux endroits où il est assujetti à de fortes torsions. Que ce soit au niveau des oreillettes ou au niveau de la prise jack, vous pouvez toujours le réparer tout seul mais le résultat ne sera pas durable ni, encore moins, esthétique.
En premier lieu, vous devez localiser l’anomalie pour pouvoir intervenir : faites bouger la partie suspecte dans diverses positions pour déterminer exactement la partie défectueuse et commencer l’opération.
Une fois la plaie localisée, procurez-vous un nouveau câble, dénudez les fils puis raccordez-les en respectant les couleurs de votre appareil. L’opération nécessite de la dextérité avec le fer à souder, nous vous la déconseillons si vous n’êtes pas un féru de bricolage. Si vous tenez vraiment à votre casque et qu’il est toujours sous garantie, jouez cette carte sans aucune hésitation ! Si ce n’est pas le cas, et que vous ne voulez vraiment pas le changer, nous vous recommandons de contacter un réparateur spécialisé, qui vous facilitera la tâche. Maintenant, si vous tenez vraiment à mettre vos mains dans le cambouis, nous vous proposons de visionner cette vidéo qui vous détaille pas à pas l’opération de réparation.
La prise jack est la prise située au bout du câble et qui permet de brancher votre casque ou vos écouteurs sur votre téléphone, ordinateur ou tout autre appareil audio. Se présentant droite ou coudée, elle demeure extrêmement fragile car il s’agit d’une partie soumise à énormément de torsions. Nous vous conseillons néanmoins les prises jack en L si vous êtes nomade, avec des câbles en spirale ou tressés afin de réduire le risque de torsion.
Si vous avez lu et visionné la vidéo ci-dessus, vous aurez compris qu’il vaut toujours mieux prévenir que guérir. Entretenir son casque ou ses écouteurs avec soin est nettement plus pratique qu’avoir à les réparer. Pour les conserver intacts comme au premier jour, rien n’est plus important que leur rangement. Soignez cette étape de l’utilisation, s’il vous plaît, et évitez surtout de l’enrouler autour de votre appareil audio. Enroulez-le plutôt en 8 autour de vos doigts, tout en laissant du lest, puis fixez l’extrémité dans une boucle. Évitez de le rouler en nœuds, car les torsions que vous devrez exercer afin de le remettre droit risquent de provoquer la rupture des câbles ou des points de suture si l’accessoire est déjà passé par la case réparation.
Les casques et les écouteurs sont des accessoires vitaux mais fragiles : prêtez-y votre plus grande attention afin d’en profiter aussi longtemps que possible. Les bons casques coûtent chers et autant en réparation… Traitez vos écouteurs/votre casque comme s’ils étaient une partie de vous – ne le sont-ils pas d’ailleurs, quelque part ? Ils vous combleront.
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]]>L’article Comment migrer vers Windows 10 ? est apparu en premier sur On a Testé Pour Vous.
]]>Si votre ordinateur est équipé d’une ancienne version de Windows à l’instar du 7, du 8 ou encore du 8.1 et que vous souhaitez mettre à jour votre système d’exploitation, rien de plus facile ! Du moment que votre système d’exploitation est authentique et éligible, la mise à jour est gratuite. Cerise sur le gâteau, elle vous permet de conserver tous vos dossiers, documents, logiciels et réglages (nous vous conseillons néanmoins de sauvegarder vos données sur un disque dur externe). Suivez les étapes ci-dessous pour mettre votre PC à jour :
Sur le site de Microsoft (plus précisément ici ) se trouve l’outil de création Media téléchargeable gratuitement. Téléchargez la version qui correspond à votre processeur (32 ou 64 bits). Ouvrez ensuite le fichier que vous venez de télécharger afin d’installer l’outil.
Une fois l’outil de création Media installé puis ouvert, une fenêtre va automatiquement s’ouvrir et vous proposer de télécharger Windows 10. Cochez « Mettre à niveau ce PC maintenant » puis cliquez sur « Suivant ».
Le téléchargement commencera ; ne craignez rien s’il prend du temps, beaucoup de temps. Rien de plus normal, évitez surtout d’interrompre le processus.
C’est la dernière étape et non des moindres ! Une fois le téléchargement terminé, l’outil de création Media redémarrera automatiquement et vous demandera de valider les termes du contrat de licence. Pas besoin de le lire en entier, cliquez sur « Accepter » comme vous le faites d’habitude. Cet outil fétiche va rechercher les mises à jour nécessaires ; une fois son laps de temps écoulé, vous êtes enfin prêt pour la migration.
Avant de profiter de votre nouveau système d’exploitation, dernier détail d’importance capitale : sauvegardez vos données et logiciels ! C’est un principe : faites toujours une sauvegarde sur un disque dur externe pour pallier d’éventuels bugs. Mieux vaut prévenir que guérir !
Appuyez sur « Modifier les éléments à conserver » et trois options s’offriront à vous : tout conserver, conserver uniquement vos fichiers personnels et effacer tous les logiciels ou encore, tout supprimer et ne rien conserver (un peu à l’ancienne, donc). Une fois votre choix effectué, validez en cliquant sur « Installer ».
La migration du PC est entamée, laissez-le mouliner avec patience. Sachez qu’il pourra redémarrer plusieurs fois, ne vous inquiétez donc pas.
La migration est alors terminée. Bienvenue sur Windows 10 !
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]]>L’article Comment éviter ou gérer les ransomwares est apparu en premier sur On a Testé Pour Vous.
]]>Une vie numérique safe ne peut être si l’ensemble de vos données est stocké sur votre disque dur principal, cible privilégiée par les attaques virtuelles. Vous devriez consigner régulièrement toutes vos données sur plusieurs supports, virtuels et réels (Cloud, disques durs externes).
Les disques durs externes offrent de grosses capacités de stockage à des prix et des tailles de plus en plus conviviales, permettant un transport facile des fichiers tout en étant déconnecté d’internet la plupart du temps – et donc, immunisés contre les ransomwares. Vous pouvez même installer tout un clone de votre disque dur avec vos fichiers et votre OS, certains outils vous permettront de restaurer votre système et vos données très facilement. Une deuxième solution fort attrayante réside dans les clouds, d’autant plus que les offres pullulent sur le marché. Vous gagnerez à en utiliser plusieurs pour plus d’efficience et de sécurité : Google Drive a l’avantage d’être très bien intégré à toutes vos machines sous Android et prend soin de toutes vos photos dans l’application dédiée sans bouger le petit doigt. Si vous êtes un utilisateur d’Office et de Windows 10, OneDrive reste une excellente solution car très bien intégré à Windows. Un homme prévenu en vaut deux : plus vous diversifiez vos plateformes de back-up, moins vous serez exposés aux attaques.
Cette règle est aussi vieille que la Bible… et aussi simple que bonjour ! Faites attention aux mails provenant d’un contact inconnu ou encore, d’un contact que vous connaissez mais écrit bizarrement. Nous avons tous fait face à un fameux message ou mail d’une connaissance en mode « Hey you should download this file / check this website it’s incredible ! », vous voyez un peu le délire. Non, ce n’est pas votre ami, c’est un malware qui l’a piraté. Afin de vaincre ces situations, rien de plus facile, ne cliquez surtout pas sur le lien, effacez le message puis prévenez l’expéditeur pour qu’il revoie les paramètres de sa sécurité informatique. Si vous avez le moindre doute sur ce que vous venez de recevoir, qu’il soit fichier ou lien, n’ouvrez jamais, effacez puis prévenez votre pote. La majorité écrasante de ce genre de fichiers est surtout due à une négligence de votre part à vous ! Mieux vaut prendre toutes les précautions possibles au lieu de se retrouver à payer des rançons superflues pour des fautes négligeables.
Une autre source d’infection de malwares se dissimule dans les sites web visités, en particulier les sites un peu louches. La majorité des sites de téléchargement illégal ainsi que plusieurs sites pornographiques sont de véritables mines à logiciels malveillants ; faites très attention en vous y promenant. La plupart de ces sites sont hors-la-loi et leur contenu téléchargeable est souvent infecté, sans oublier bien sûr les pop-up non moins irritants. Nous vous déconseillons de visiter ce type de sites mais si vous voulez vraiment y faire un tour, activez un bloqueur de publicités et prenez toutes les précautions requises en téléchargeant un fichier afin de ne pas vous retrouver avec un ordinateur infesté de malwares. Vous pouvez éventuellement désactiver l’Adblock pour certains sites propres afin de les aider à financer leurs domaines. N’oubliez surtout pas de passer tous vos fichiers téléchargés aux anti-virus, si ce n’est déjà fait. « Safety is number one priority », comme le disait un célèbre youtubeur russe !
Vous pourriez prendre toutes les précautions du monde mais votre système d’exploitation vous causera énormément d’ennuis si vous ne le mettez pas régulièrement à jour. Si ce dernier est ancien et obsolète, il sera véritablement infesté de logiciels malveillants et vous donnera du fil à retordre. Si vous utilisez Windows 10 avec ses options de sécurité par défaut, vous n’avez pas à vous inquiéter de ce côté car vous serez protégés d’office. L’OS va se mettre à jour automatiquement et boucher toute faille de sécurité découverte auparavant. Dans le cas échéant, regardez souvent la section « Mise à jour et sécurité » pour vérifier si votre système est vraiment à la page.
Ce discours est le même concernant les anciennes versions de Windows tant qu’ils sont toujours maintenus par le géant de Richmond via Windows Update – dans notre cas de figure, Windows 7 et Windows 8,1. En revanche, si vous êtes vraiment fan des vieux systèmes à l’instar de Vista et Windows XP, nous ne pouvons que vous conseiller de migrer vers un système à jour car ces deux-là ne sont plus suivis par leurs concepteurs et sont donc plus exposés que les autres aux cyber-attaques.
Si par malheur vous vous retrouvez avec un ransomware ou tout autre logiciel malveillant suffisamment nocif sur votre ordinateur, suivez ces réflexes afin de vous en sortir avec les moindres dégâts.
Isolez votre machine de tout réseau local et d’internet en plus général afin de minimiser la propagation du fléau. Désactivez le Wi-Fi, retirez le câble Ethernet, débranchez toute éventuelle clé USB et disque dur externe pour les sauver tant qu’il est encore temps.
Si votre ordinateur est crypté tout en ayant un ransomware qui vous exige une somme pour les débloquer, n’acceptez surtout pas cette requête insensée. Pensez-y, payer des gens chelous sur le net ne vous garantira en aucun cas la remise en marche de votre ordinateur et votre soumission encouragera ces malfrats à poursuivre leur pratique malsaine. Prévenez les autorités qui prendront conscience de l’ampleur du phénomène et pourront se pencher sur votre cas pour vous venir en aide.
Il est temps de mettre les mains dans le cambouis et de partir à la guerre. Si vous vous rendez compte du virus à temps et que le cryptage n’en est qu’à son début, éteignez tout de suite la machine et redémarrez avec un système d’exploitation de secours, via une clé USB ou un CD. Les « Linux » sont bootables sur CD ou USB, vous pouvez les utiliser pour entamer l’opération de sauvetage. Booter sur Ubuntu (distribution Linux la plus répandue) vous permettra de lancer une désinfection et de sauvegarder vos fichiers. Quand tout sera rentré dans l’ordre, une analyse complète de votre ordinateur à l’aide d’un anti-virus dernier cri est vitale pour vous assurer d’avoir tout nettoyé. Vous pourriez utiliser le redoutable Defender de Windows si vous êtes sous Windows 10, cet outil s’avère fort utile et efficient en la matière. Néanmoins, le choix est large et vous pourriez recourir à des anti-virus tiers à l’instar de Kaspersky ou Avira Antivir. Gardez cependant en tête que les anti-virus sont de farouches monogames : en installer plusieurs d’un coup engendrera beaucoup plus de dégâts que de bien à votre PC.
Sortez toujours couvert et les dégâts seront minimes voire nuls. Vous voilà bien protégés et armés, bonne chance dans votre bataille virtuelle !
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]]>nous avons tous succombé, plein d’extase, devant les rayons de l’Appstore ou du Google Play Store chargés de tant d’applications ! Le réflexe commun à tous les mortels vous commande alors d’en télécharger un maximum… même si vous allez, pour la plupart, peu – jamais – les utiliser. Ouvertes ou pas, ces applications sont susceptibles de tourner en arrière-plan, consommant non seulement de la batterie mais surtout, de la mémoire vive. Or, qui dit mémoire vive, dit ralentissements d’autant plus importants que vous accumulez les applications inutiles. Une solution intuitive existe pour régler ce problème : désinstallez ces applications ! Non seulement vous gagnerez de l’espace de stockage interne mais vous gagnerez surtout en fluidité et éliminerez sûrement une partie de ces ralentissements, d’autant que votre modèle possède une faible RAM.
Le cache est destiné à assurer un fonctionnement plus rapide de nos applications. La plupart d’entre elles stockent les éléments les plus souvent affichés à l’écran dans la mémoire interne afin de charger plus rapidement lors de l’utilisation. Très bonne idée en théorie mais à double tranchant puisqu’en pratique, l’accumulation excessive de cache se traduit directement par des ralentissements. Rien de bien miraculeux pour y remédier, vous pourriez vider votre cache soit à travers les paramètres ou en téléchargeant une application tierce qui fera le sale boulot à votre place, à l’instar de CCleaner sur Android. Cette application a d’ores et déjà fait ses preuves sur PC, elle pourra vous assister efficacement en effaçant le cache mais aussi les applications inutiles et autres résidus présents sur votre système. Un nettoyage régulier maintiendra votre tablette fluide et comme neuve un maximum de temps, ne lésinez donc pas sur le cache !
Cette règle n’est pas bien compliquée mais comme elle est utile ! Un redémarrage régulier améliore la réactivité de votre tablette. Lors de la procédure de redémarrage, le système d’exploitation va vider sa mémoire vive, pour se remplir ensuite progressivement. Pour autant, pas besoin de le faire chaque jour, hein ! Mais si vous n’éteignez pas votre tablette sur plusieurs semaines voire mois, cette opération devient indispensable.
Un fond d’écran animé, agrémenté de widgets et d’outils flottants sont très décoratifs. Certes, mais cela suppose de souffrir pour être beau. Car ces éléments vont rapidement saturer la mémoire vive, le processeur ainsi que l’autonomie de votre appareil. Nous vous conseillons de limiter l’utilisation de ces gadgets souvent superflus si votre machine peine à suivre la cadence. Mieux vaut un écran dépouillé mais fluide qu’un joli écran saturé qui plante.
Profitez-en tant que c’est gratuit ! Les constructeurs proposent assez souvent des mises à jour pour leurs modèles, qui résolvent de nombreux bugs tout en améliorant la sécurité et les performances. Ne croyez pas que les mises à jour ralentissent votre appareil, c’est tout à fait le contraire !
Après quelques mois voire années de service, votre tablette finira par devenir plus lente. Malgré tout ce que vous aurez fait pour prévenir ce genre d’incident, c’est aussi inévitable que la mort pour la plupart des appareils électroniques. Aussi, une petite restauration ne fait jamais de mal, bien au contraire : elle permettra de vider votre appareil pour le restituer comme neuf et donc, aussi rapide que possible. Veillez à bien sauvegarder vos données au préalable mais n’hésitez surtout pas ! Pour savoir comment procéder, visitez notre petit tuto réservé à la réinitialisation ou à la restauration de votre tablette.
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]]>Vous avez enfin opté pour un Chromebook ? Félicitations, vous avez basculé du bon côté de la force ! Mais comme vous le savez probablement, tout nouveau système d’exploitation requiert un temps d’adaptation. Fort heureusement, ChromeOS est tout ce qu’il y a de plus facile et intuitif à gérer. Et avec notre petit guide, vous avez tout pour y voir plus clair. Attachez vos ceintures, c’est parti !
Rien de renversant mais certains l’oublient toujours… Alors oui, comme tous les gadgets électroniques, votre relation avec votre Chromebook ne pourra s’épanouir que quand vous l’aurez d’abord branché à une prise !
Une fois branché, le reste est un jeu d’enfants. Ouvrez votre Chromebook, appuyez sur le bouton « Power » afin de le mettre sous tension puis suivez les quelques instructions affichées sur votre écran : réglage de la langue, des préférences clavier et du réseau internet – pour rappel, il s’agit d’un système qui s’articule autour du Cloud de Google. Cliquez sur « Continuer » pour passer à l’étape suivante.
Rien de bien étonnant par la suite : vous êtes invité à accepter les conditions de service de Google puis à vous connecter en utilisant les identifiants de votre compte Google. Vous avez un Chromebook mais pas de compte Google ? Aucun souci !
Le Cloud de Google est tout puissant et omniprésent dans ChromeOS, à tel point que si vous aviez déjà utilisé ChromeOS ou simplement le navigateur Chrome sur un autre appareil avec le même compte Google, toutes vos préférences (favoris, historique,…) seront automatiquement importées sur votre nouveau Chromebook. A condition, évidemment, d’avoir activé la synchronisation dans les paramètres !
Si vous n’êtes pas familier de Chrome OS, vous pouvez personnaliser votre machine en cliquant sur la barre d’état dans le coin inférieur droit du Chromebook, ce qui vous redirigera vers le menu principal.
Ça n’arrive pas qu’aux autres : tout ordinateur est sujet aux bugs et malheureusement, votre Chromebook pourrait ne pas faire exception, d’autant plus qu’il possède toujours une ancienne version de Chrome OS. Un cas de figure qui enclenche systématiquement le redémarrage de votre appareil. N’ayez crainte cependant, le pépin est très facile à surmonter.
Tout d’abord, éteignez complétement l’ordinateur en appuyant sur le bouton « Power » pendant 8 à 10 secondes. Quand l’écran devient complètement noir, appuyez à nouveau sur le même bouton. Ensuite, cliquez sur le mode « Invité » dans le coin inférieur gauche de l’écran. Attention ! Ne vous connectez pas à votre profil, vous ne serez pas sorti de l’auberge !
Suivra alors l’opération de réparation, qui nécessite une mise à jour manuelle de Chrome OS. Pour y parvenir, cliquez sur la zone d’état dans le coin inférieur droit de l’écran, puis sur l’icône des paramètres et choisissez le lien bleu « À propos de Chrome OS ». Le supplice prend fin… Cliquez sur « Rechercher et appliquer des mises à jour » puis suivez les instructions qui apparaîtront sur l’écran. Le bug ne devrait être qu’un mauvais souvenir après ces étapes. Redémarrez alors votre ordinateur et tentez de vous connecter avec votre profil Google, vous ne devriez plus subir aucun bug.
Ce nouveau système d’exploitation repose fondamentalement sur le Cloud et tout ce que Google peut vous offrir depuis sa colossale artillerie d’applications. Ces dernières s’avèrent vite indispensables pour une grande variété de tâches. Naviguez sur le Chrome Web Store et Google Play, et laissez-vous tenter !
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]]>L’idée de posséder son propre drone est des plus tentantes : n’avez-vous jamais rêvé de voler et de parcourir les cieux ? N’avez-vous jamais rêvé de cette liberté inconditionnelle de partir à l’aventure et d’explorer les recoins les plus insolites ? Comme se faire pousser des ailes n’est toujours pas possible, les drones représentent une alternative plus qu’intéressante et sauront faire office de vecteurs de rêves. Ils (sur)voleront à votre place tout en prenant plusieurs photos et films ; certains modèles offrent même une vision immersive via des lunettes spécifiques pour des sensations réellement inédites. Vous l’aurez compris, les avantages d’acquérir un drone sont légion. Voici tous nos conseils pour bien profiter de cette expérience.
Bien sûr, les derniers modèles offrent le nec plus ultra de la performance, avec leurs caractéristiques défiant toute contrainte. Mais vous n’êtes encore qu’un apprenti pilote qui aura de grands risques de faire crasher son appareil à plusieurs reprises avant d’en maîtriser le fonctionnement. Aussi serait-il plus avisé et logique, au début, d’investir dans un mini-drone qui ne coûte pas un bras et qui pourra remplir sans regret le rôle de souffre-douleur durant votre apprentissage. Si vous n’avez aucune idée sur le modèle le plus indiqué, sachez que nous avons préparé un guide spécial sur les drones les moins chers. N’hésitez pas à commander des pièces de rechange tant que vous y êtes (hélices, pieds, etc.) car vous en aurez certainement besoin au début. Ne vous en faites pas, tout le monde – et la maîtrise du pilotage – passe par là !
Soyez averti dès à présent : vous allez crasher votre appareil une multitude de fois contre un mur, le plafond ou même ailleurs, à l’extérieur, suite à un tout petit coup de vent. En tout domaine, les premières fois ne sont jamais évidentes et le pilotage de drone ne fait pas exception. Afin de conserver votre motivation au top, vous devrez vous armer de patience. De beaucoup de patience. Rien n’est évident de prime abord, souvenez-vous de vos premières heures d’auto-école ou d’apprentissage d’un instrument de musique, par exemple. Il vous a bien fallu un bout de temps pour faire démarrer sans à-coups votre voiture ou pour jouer harmonieusement un petit morceau sur votre batterie ou tout autre instrument. Vous avez réussi à surmonter un tas d’épreuves au cours de votre vie, les commandes et le comportement d’un drone ne constituent qu’une étape supplémentaire.
En France comme à l’étranger, la circulation dans l’espace aérien est méticuleusement réglementé pour des raisons évidentes de sécurité. Futur pilote, amateur ou pro, vous devez connaitre la législation sur le bout des doigts. Histoire de ne pas vous prendre la tête avec les réglementations, voici un petit récapitulatif qui vous évitera de passer la nuit au commissariat (merci qui ?) :
• La hauteur maximale autorisée pour le vol de drone est de 150 mètres : dépassez-la et votre appareil risquera de se faire broyer par un hélicoptère.
• Ne faites pas voler votre engin en zone urbaine comme les parcs, les rues, les stades ou les plages ; les zones à proximité des aérodromes, des bases militaires ou des centrales nucléaires sont bien évidemment interdites. Si vous voulez acheter un drone pour faire votre James Bond, désolé de vous annoncer que c’est mort. Utilisez le site aip-drones.fr pour connaître les zones interdites dans votre région, ça vous sauvera la mise.
• Sans grande surprise, il est interdit de filmer les gens à leur insu. Si vous croyez qu’un drone vous permettra d’espionner votre voisin/e ou de recueillir des images coquines, là encore, c’est cramé !
• Ne faites pas voler l’appareil depuis un véhicule en mouvement. Pas besoin d’être un génie pour savoir que vous pourriez perdre votre drone et que ce dernier pourrait crasher n’importe où et sur n’importe qui.
• Comme vous vous en doutez, perdre son drone est un pêché capital même en cas de vols FPV (vols immersifs à la première personne) : une seconde personne devra garder le drone à vue et pouvoir le contrôler par radio commande si jamais vous en perdez le contrôle. Le pilote n’a pas le droit de faire usage d’accessoires comme des jumelles pour garder une vue directe de son appareil.
Ces lois peuvent vous paraitre pour le moins contrariantes, mais croyez-nous, elles ont été édictées pour votre bien. Volez de manière responsable, chers pilotes en herbe !
Vous avez commencé à piloter votre drone et à le faire voler comme un champion. Tout fier de votre accomplissement, vous allez être tenté de vous enhardir, en faisant une manœuvre banale mais un peu plus complexe comme le demi-tour. C’est là que la fête (ou plutôt le supplice) commence ! Vous n’êtes pas à bord de votre appareil mais vous devez faire comme si : loin d’être évident quand la machine se dirige vers vous. Car toutes les commandes horizontales s’inversent et il va falloir faire l’opposé de ce que vous voulez. Tournez la manette à droite et le drone tournera à gauche, tournez-la à gauche et il tournera à droite. Facile en théorie, mais avec la radiocommande en main, c’est une tout autre paire de manches. Même si certains drones prennent en considération ce paramètre enquiquinant et le gèrent à travers un processeur intelligent – comme les DJI Phantom qui répondent toujours bien –, ça peut vite partir en vrille (au sens propre !) avec les autres modèles. Vous avez donc à apprendre à inverser votre cervelle dans ce cas, il n’y pas de remède miracle. Armez-vous de patience et de persévérance, deux qualités qui s’avéreront plus qu’utiles lors de votre perfectionnement. C’est en forgeant qu’on devient forgeron : à force d’entraînement, le processus deviendra de plus en naturel.
Si vous avez encore peur d’investir dans un drone et que l’idée de vous entraîner et de le faire crasher vous fait flipper, une alternative très ludique et réaliste est disponible : les simulateurs de vol en drone. Il s’agit de logiciels et d’applications mobiles qui vous permettent de prendre les rênes d’un drone et de vous placer en conditions de vols extrêmement réalistes. Un tas d’applications existent et certaines sont appréciables pour les économies qu’elles vous feront réaliser. Nous vous recommandons Electric RC Sim, disponible sur iOS pour la modique somme de 3,49 euros. Bien que fervents défenseurs de la pratique in situ, ce type d’application peut être un très bon point de départ afin de vous familiariser avec le pilotage de drone, et minimiser les risques de crashes.
Vous avez scruté et appréhendé votre drone mais n’avez pas encore entamé le pilotage en tant que tel ? Réalisez ces exercices, ils vous aideront à maîtriser votre appareil et à devenir un as du pilotage :
• Décollage : Commencez bien sûr par le décollage, qui consiste à poser le drone bien à plat, puis effectuez un décollage suivi de la stabilisation du drone. Donnez un bon coup de gaz pour arracher votre machine du sol puis stabilisez-la à un mètre de hauteur.
• Atterrissage : Apprenez à atterrir sur un point fixe repéré à l’avance. Repositionnez le drone à midi afin de ne pas être perturbé par les commandes inversées en cette phase critique.
• Mouvements basiques avant/arrière et droite/gauche : Stabilisez le drone pour faire ces mouvements de va-et-vient avec un point de départ et de retour, vous vous accoutumerez ainsi à la sensibilité des commandes.
• Rotations : Faites des tours à 360 degrés, dans les deux sens, avant de revenir en position midi. Cela vous apprendra à la fois à ajuster votre vitesse et à bien alterner les commandes.
• Virages : Certainement l’exercice le plus délicat car un bon virage doit rester constant. Une fois le degré d’inclinaison trouvé, bloquez les commandes pour que votre drone puisse faire des cercles continus. Effectuez des virages vers la droite ou vers la gauche puis revenez au point de départ.
Ces exercices vous permettront d’acquérir une base solide dans le maniement de votre drone. Vous aurez entamé idéalement votre cursus de pilote chevronné.
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