Le Ricoh Theta S est l’un des appareils 360 degrés les plus faciles à utiliser du marché, grâce à la clarté de ces icônes et à la sensation confortable apportée. Offrant plusieurs modes avancés de prise de vue, son utilisation n’en demeure pas moins simple via le gros bouton en son milieu. Le partage des photos et des vidéos est tout aussi aisé. La connectivité Wi-Fi intégrée permet en outre de déclencher la prise à distance depuis un appareil iOS ou Android par le biais de simples applications. Bien que ses deux lentilles ultra-angulaires ne peuvent photographier en résolution 4K, elles captent toutefois des photos et des vidéos de grande qualité caractérisée par une meilleure précision de couleurs que ses rivaux.

Après une trentaine d’heures de recherches et des tests approfondis sur trois prétendants au titre de meilleur appareil 360 degrés, le vainqueur est… le Ricoh Theta S !

Qui devrait l’acheter ?

Contrairement aux appareils classiques qui ne peuvent saisir que partiellement une scène donnée, un 360 degrés se distingue par sa capacité à incorporer l’ensemble du panorama, tout autour du photographe – comme son nom l’indique – soit en faisant glisser dans la fenêtre d’image dans une application ou sur un écran d’ordinateur, soit en se déplaçant tout en tenant un téléphone ou une tablette à bout de bras, qui enregistre dans l’espace 3D.

Certes, ce type d’enregistrement n’est pas nouveau : dans les années 1950, Walt Disney avait eu l’idée d’attacher neuf caméras cinématographiques ensemble pour créer le Circle Vision 360 ° (Cercle de vision à 360 degrés). Mais la technologie actuelle améliore le procédé et surtout, le fait tenir dans le creux de votre main. Les usages multiples des appareils à 360 degrés évoluent constamment ; voici néanmoins quelques scénarios qui s’y prêtent :

Spécifiquement conçu pour les scènes d’action, les appareils 360° permettent notamment des clips grisants de type GoPro, qu’affectionnent les acrobates, les surfeurs ou les pilotes de chasse et qui rendent le spectateur acteur, comme s’il était à leur place. Poussée d’adrénaline garantie !
La fixation particulière d’une caméra à 360 degrés permet des prises de vue que ne pourront jamais obtenir les appareils traditionnels. Grimpez au sommet d’une montagne et laissez les spectateurs contempler la splendeur du paysage comme s’ils y étaient, ou installez votre appareil laissez-le enregistrer un événement saisi en pleine activité.
En tant qu’appareil POV, une des grandes différences entre un 360 degrés et un appareil traditionnel réside dans ce que le photographe devient le personnage principal de ses prises de vue. La réinterprétation hypermoderne du selfie…

Nos critères de sélection

Nous avons épluché des revues et leurs analyses pour près de 30 appareils à 360 degrés. Sur la base d’un sondage mené auprès des lecteurs sur le montant qu’ils consentiraient à payer pour ce type d’appareil, nous avons limité notre champ d’investigation aux modèles dont le prix est inférieur à 600 euros.

Travaillant sur l’hypothèse que plus il y a de mégapixels mieux c’est (en particulier lors de la prise de vue vidéo), nous avons examiné de près les modèles 4K. Mais comme seulement un faible nombre d’entre eux existe actuellement, nous les avons comparé à un Ricoh Theta S doté de la vidéo HD. Nous avons rejeté les solutions complexes comme le GoPro Omni, qui nécessitent de relier deux ou plusieurs caméras en utilisant de nouveaux supports ou des cages pour une couverture à 360 ​​degrés.

En fin de compte, seuls trois modèles ont passé les tests : le Ricoh Theta S, le 360fly 4K et le Samsung Gear 360.

Notre choix

Portativité confortable, facilité d’utilisation, lentilles doubles pour une couverture totale à 360 ​​degrés : autant d’atouts qui font de Theta S un excellent choix « tout-en-un ». Nous pensons en effet que le Ricoh Theta S est le meilleur choix d’appareil à 360 degrés : ses deux lentilles captent réellement à 360 ​​degrés et restituent avec fidélité les couleurs, la qualité d’image est nette de même que la vidéo 1080p. La prise en main est confortable, l’appareil étant facilement maniable et pouvant être contrôlé depuis une application pour smartphone. L’édition, le partage des clips et des photos est aussi aisé, ce que nous ne pouvons pas dire pour certains de ses rivaux.

Le Theta S utilise deux capteurs de 12 mégapixels couplés avec des lentilles ultra-larges de 240 degrés afin de créer des images à 360 ​​degrés le long des axes horizontal et vertical. Il saisit presque toutes ces images – cachant uniquement l’appareil en tant que tel – et entoure les saisies de chaque objectif en une image transparente de 14 mégapixels ou une vidéo 1080p. Techniquement, le résultat donne une image plate mais quand on regarde dans l’application Theta S, ou sur Facebook, YouTube et Flickr, le rendu vous propulse littéralement à la place du photographe.

Pour une utilisation quotidienne, nous avons que trouvé le Theta S reproduit fidèlement les couleurs dans une gamme de conditions d’éclairage – y compris pour les images et les vidéos prises sous faible luminosité. En fait, surtout quand la vision se fait sur écrans mobiles ou via la fenêtre d’un navigateur, nous avons préféré la qualité d’image globale du Theta S à celle de ses rivaux de haute résolution. Dans des conditions de tournage plus difficiles, l’application Theta S sur votre appareil mobile offre un réglage de compensation d’exposition, une vitesse d’obturation et des modes de priorité ISO, ainsi qu’un mode entièrement manuel pour contrôler directement les paramètres. Plusieurs préréglages de balance des blancs sont disponibles pour ajuster la température de couleur de la scène. Chaque clip vidéo peut durer 25 minutes en continu.

S’il est moins large qu’un iPhone tout en étant 2 fois plus épais, le Theta S demeure très léger : avec un poids de 125g, vous pouvez le transporter et en disposer comme appareil secondaire sans être encombré par sa taille ou son poids. Sa surface en caoutchouc, légèrement adhérente, et sa forme rectangulaire sont pratiques à saisir. Et le Theta S peut être attaché à toute monture disposant d’une vis de trépied standard.

La disposition des boutons Theta S permettent de prendre des photos ou des vidéos sans avoir à lancer l’application sur votre téléphone. Avec notre choix de mise à niveau, la capture d’une image fixe ne peut être effectuée que via l’application, même s’il existe par ailleurs des boutons pour activer la radio Wi-Fi (ou l’éteindre pour économiser la batterie) et pour passer d’un mode de capture vidéo à un autre. Les voyants LED sur la face du Theta S indiquent en un coup d’œil le mode utilisé et si le Wi-Fi est activé ou pas.

Ricoh ne fournit pas une évaluation CIPA standard de l’industrie pour la durée de vie de la batterie ; mais nous estimons que vous obtiendrez quelque 260 photos avant que la Theta S ait besoin d’être rechargé. L’utilisation de l’application mobile pour diriger l’action réduira la vie de la batterie parce qu’elle utilise largement la radio Wi-Fi. La prise de vue d’images fixes sur votre téléphone présente une prévisualisation en direct à basse résolution de la scène, qui peut vider plus rapidement la batterie de votre téléphone. La durée de vie de la batterie est encore plus limitée lors de la prise de vidéo : en une seule charge, nous avons obtenu environ une heure de tournage. Comme la batterie n’est pas amovible, prévoyez une batterie USB portable si vous risquez d’être loin de toute source d’alimentation pendant un certain temps.

La vraie nature de l’imagerie à 360 degrés signifie que certaines étapes d’avant-capture doivent être prises pour que les résultats soient considérés propres. Les prises elles-mêmes sont en fait des fichiers JPEG et MP4, saupoudrés d’un peu de métadonnées qui les identifient comme vidéos à 360 degrés. En tant que telles, elles doivent être manipulées spécifiquement par une application ou un site de médias sociaux. Tout d’abord, bien sûr, vous devez obtenir les images de l’appareil : l’application mobile Theta transfère des données via Wi-Fi. Pour les vidéos, cela peut prendre un certain temps, consommer beaucoup de stockage et accaparer votre téléphone pour toute la durée car l’application vous demande de ne pas vous en éloigner durant le transfert. La copie d’une vidéo de 1 minute et 10 secondes (135 Mo) sur Wi-Fi sur un iPhone 7 a pris 3 minutes et 46 secondes. Vous pouvez également brancher l’appareil à un ordinateur via USB puis utiliser l’application de bureau Theta de Ricoh pour visionner les images.

La configuration Wi-Fi est simple avec un iPhone : après avoir appuyé sur le bouton Wi-Fi Theta et en sélectionnant Theta dans le menu Paramètres du téléphone, il nous a été demandé d’entrer le mot de passe, c’est-à-dire le numéro de série de la caméra inscrit au bas de Theta – pas besoin d’éplucher la documentation à la recherche du mot de passe de l’administrateur. Vous pouvez ensuite modifier le mot de passe dans l’application si vous le souhaitez. Pendant les tests, nous n’avons eu aucun problème de connexion au réseau sans fil de l’appareil à l’aide des commandes Wi-Fi du téléphone.
La visualisation des photos et vidéos dans l’application est une expérience immersive, en balayant pour explorer la vue à 360 degrés ou en s’appuyant sur l’accéléromètre du téléphone pour parcourir la scène dans la direction suivant laquelle vous déplacez le téléphone. Une vision VR à deux lentilles est disponible si vous possédez des lunettes VR, peu coûteuses.

Si vous souhaitez modifier vos images, les applications Theta+ et Theta+ vidéo vous permettent d’ajouter des filtres, des autocollants et du texte pour les images fixes ou des filtres et de la musique pour les vidéos – dont les séquences peuvent également être coupées. Dans les deux applications, vous pouvez créer des plans “recadrés” qui changent la façon dont l’image est enveloppée, en imprimant un effet Little World, illustré ci-dessous.

Puisque les photos ne sont que des images plates, elles peuvent être ajustées à n’importe quel éditeur, sachant que l’édition d’une vidéo peut parfois s’avérer délicate. Si vous souhaitez couper plusieurs clips vidéo dans une séquence, vous devez utiliser une application vidéo externe. Adobe Premiere Pro et Final Cut Pro X d’Apple reconnaissent désormais des images 360 degrés et peuvent les traiter de sorte que vous n’ayez pas à travailler avec un rectangle étiré contenant toute l’image lors de l’édition.

Qui partage notre choix ?

Notre premier choix, Ricoh Theta S, a séduit un grand nombre d’internautes et de revues spécialisées.

Céline Nebor, de Lesnumeriques, a adoré le design minimaliste et compact de notre meilleur choix. Elle a constaté, après avoir longuement testé l’appareil, que : « En main, la Theta S se tient comme une petite télécommande ; nous apprécions particulièrement la prise en main et le revêtement lisse et doux qui la recouvre ».

Joshua Goldman, de Cent, est impressionné par la qualité des images du Theta S comparé à la concurrence. Outre son design pratique et ses autres nombreux avantages, le testeur souligne les capacités de ce petit appareil et ses améliorations par rapport aux modèles précédents : « Lorsque l’on prend en compte tout le traitement nécessaire pour produire ce type de photo, on peut considérer la qualité d’image comme très bonne et en tout cas, bien meilleure par rapport aux modèles précédents, surtout en faible luminosité ».

Le testeur de 01net, quant à lui, vante l’ergonomie et la facilité d’utilisation de l’appareil tout en délivrant une immersion époustouflante. Il en témoigne ainsi : « Le Ricoh Theta S est vraiment plaisant à utiliser, principalement parce qu’il permet de créer des contenus immersifs comme si on se servait d’un simple appareil photo compact ».

Noté 4 étoiles sur 5 par la majorité des internautes sur Amazon, les utilisateurs de notre premier choix en sont plutôt satisfaits. Un acheteur n’a pas hésité à le qualifier de « bonne solution pour ceux qui veulent se lancer dans la photographie 360° ».

Des défauts loin d’être dissuasifs

La lacune la plus évidente du Theta S concerne la vidéo 4K, une caractéristique communément attendue par les utilisateurs. N’oubliez pas toutefois que la plupart des spectateurs vont voir vos images : compressées dans une fenêtre de navigateur ou consultées sur un appareil mobile, regarder vos photos et vidéos sur un écran de 64 pouces compatible avec la 4K ne risque pas de se produire.

Les 8 Go de mémoire inclus peuvent contenir environ 1600 photos ou une heure de vidéo ; il aurait été plaisant d’avoir un peu plus d’espace ou un port pour utiliser des cartes mémoire interchangeables. Le 360fly 4K, par exemple, est doté d’une mémoire de 64 Go. Le Samsung Gear accepte toutes les cartes microSD, que vous pouvez échanger lorsqu’elles sont remplies. Un autre avantage des cartes amovibles est que vous pouvez transférer des images beaucoup plus rapidement que par Wi-Fi en utilisant un lecteur de carte compatible, connecté à un périphérique mobile (comme l’adaptateur Apple Lightning à carte SD) ou à un ordinateur via USB.

Un problème peut survenir lors de l’exportation du travail fini : certaines applications extraient des informations du fichier qu’elles identifient comme un clip à 360 degrés vers des services tels que YouTube, Facebook et Flickr (sur le web). Après avoir été modifiée sur Photos sur Mac, Facebook a correctement identifié la photo comme une image à 360 ​​degrés (basée sur la marque et le numéro de modèle de l’appareil dans les métadonnées) mais Flickr l’a affichée uniquement comme scène plate. Lorsque cela se produit, vous devez utiliser un tiers utilitaire pour inscrire un peu de métadonnées spécialisées dans les données EXIF ​​du fichier, afin que le clip s’affiche correctement. Dans ce cas, la prise noire et blanche nécessite l’identification de son attribut ProjectionType comme “equirectangular”. L’ajout de ces données n’est pas difficile, mais c’est une autre étape à franchir.

Puisque le Theta S capture toute la zone de 360 degrés lorsque vous tenez l’appareil qui fonctionne en utilisant le bouton Enregistrer, les doigts restent inévitablement dans le plan. Un inconvénient que vous pouvez contourner en montant le Theta S sur un petit trépied ou un bâton de selfie (stick selfie) avant de le déclencher à distance via smartphone ou minuteur.
Notre meilleur choix utilise deux lentilles, dont les images enregistrées sont amalgamées pour créer une scène à 360 ​​degrés où les bords se chevauchent. Le Ricoh Theta S utilise des algorithmes pour fusionner automatiquement ces bords mais ils créent des coutures parfois entachées par les artefacts ou la compression horizontale. À son crédit, le Theta S a offert les coutures les plus propres des appareils que nous avons testés. Si certains trouveront cette caractéristique perturbante, d’autres la remarqueront à peine, voire pas du tout s’ils visionnent les photos dans leur flux Facebook. Effet secondaire inévitable, à l’instar de la présence de vos doigts au bas de l’image lorsque vous utilisez le bouton Theta S directement, vous vous y adapterez rapidement. Les futurs appareils avec une plus grande puissance de traitement et de meilleurs algorithmes atténueront certainement ce défaut.

La concurrence

La compétition pour le prix du meilleur appareil photo 360 degrés a été pour le moins rude, nos trois prétendants étant exemplaires et présentant chacun des avantages pour le moins alléchants. Néanmoins, la comparaison de leurs défauts respectifs a permis de faire pencher la balance en faveur du Ricoh Theta S.

Tout d’abord, notre deuxième choix : le 360Fly. L’appareil possède un seul objectif capturant une vue verticale à 240 degrés et une vue horizontale à 360 degrés. Parce qu’il capture cette vue en résolution 4K, il offre des images plus nettes avec plus de détails que notre meilleur choix. Les images sont toujours traitées comme des scènes complètes à 360 degrés. Et puisqu’il n’utilise qu’une seule lentille, il n’y a pas de prise dans laquelle deux images sont réunies, seulement une tache aveugle sous l’appareil, remplacée par une zone noire ou faussement réfléchie. En pratique, lors de la visualisation de la séquence, c’est comme si vous étiez empêchés de regarder vers le bas (ou vers le haut, selon l’orientation de l’appareil).

Le 360fly 4K est doté d’un seul bouton de capture, qui déclenche uniquement l’enregistrement vidéo. Si vous souhaitez capturer une photo fixe, vous devez passer par une application, davantage qu’un commutateur à distance. En plus d’offrir des commandes rudimentaires pour régler la luminosité, l’exposition, le contraste et la saturation, l’application active le mode POV pour capturer la zone rectangulaire juste devant l’objectif et le mode de temporisation. Les clips et les prises peuvent être examinés dans l’application, copiés sur le téléphone puis partagés sur les réseaux sociaux avec un effet 360 degrés intact. Les clips peuvent être partagés avec les propres serveurs de 360fly afin de les afficher en résolution 4K totale (full 4K). Le 360fly 4K se charge en utilisant une base magnétique connectée à un chargeur USB (attention à ne pas la perdre sous peine de ne plus pouvoir recharger votre appareil !).

Malheureusement, la tache aveugle sous l’appareil et le seul bouton de capture obligeant à utiliser l’application nous ont énormément frustrés. Que vaut le Full 4K si l’accessibilité et la facilité d’utilisation ne sont pas assurés ?

Notre troisième choix, en revanche, aurait pu prétendre à la première place si n’était un défaut impardonnable. Le Samsung Gear 360 excelle dans tous les domaines considérés importants pour les appareils à 360 degrés : bonne fidélité d’image et de tournage vidéo 4K. Compact et maniable (avec son mini-trépied inclus qui se double d’une poignée), le Samsung Gear 360 dispose des meilleurs contrôles externes des appareils testés, d’autant plus que le traitement des images dans l’application dédiée Samsung Gear est d’une grande simplicité. Mais là où le bât blesse, qui nous a paru rédhibitoire, c’est qu’il n’est compatible qu’avec une gamme limitée de téléphones Samsung – Galaxy S6, S6 Edge, S6 Edge+, Note 5, S7 et S7 Edge. Si vous n’en possédez pas, vous pouvez toujours prendre des photos et des vidéos via les commandes de l’appareil mais vous n’aurez pas de prévisualisation directe ou la possibilité d’examiner les résultats après la prise de vue. Une solution officieuse pour étendre la compatibilité avec d’autres téléphones Android existe mais nous n’avons pas pu la faire fonctionner. Si vous disposez d’un périphérique iOS, vous ne pouvez déclencher l’obturateur qu’à distance, à l’aide de l’application Google Street View. Mais si vous possédez déjà un téléphone Samsung compatible, le Gear 360 est fait pour vous.

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Nous estimons dès lors que le Fujifilm Instax Mini 90 Neo Classic est le meilleur appareil photo instantané grand public. L’Instax Mini 90 Neo Classic de Fujifilm offre des images de haute qualité, avec beaucoup de contraste, de netteté et de saturation.

L’Instax Mini 90 Neo Classic de Fujifilm offre des images plus riches. Son boîtier compact et durable se tient bien en main, avec des commandes suffisamment intuitives pour que quiconque puisse commencer à photographier immédiatement. L’appareil offre des images fidèles et agréables, avec des couleurs plus vives et des détails plus fins que ses concurrents. Son design rétro, argenté et noir, le distingue aussi des autres appareils du marché, lui apportant une note plus cool. Et sachant que le coût du modèle Instax de Fujifilm a baissé par rapport à son prix de lancement, le Mini 90 Neo Classic devient selon nous la meilleure option pour qui veut s’équiper d’un appareil instantané complet, doté de contrôles supplémentaires comme la compensation d’exposition et le mode d’exposition multiple.

Qu’est ce qu’un appareil photo instantané ?

Les appareils instantanés utilisent des pellicules qui incluent un négatif pour capturer l’image, ainsi que tous les développeurs chimiques, les substrats et le papier positif requis pour produire l’impression finale. Vous appuyez sur le déclencheur et, lorsque l’impression émerge de l’appareil, le processus de développement commence, et la feuille vierge se transforme en une photographie en couleurs, un processus qui n’exige que quelques minutes. La plupart des pellicules sont livrées en faisceaux de 10 expositions, et les appareils ont des fenêtres à rebours vous permettant de suivre le nombre de prises restantes avant de changer la pellicule.

Appelé « Polaroid », du nom de la marque à l’origine de cette invention, l’appareil instantané préfigure une partie des commodités apportées bien plus tard par les appareils photo numériques. Un appareil instantané vous remet une photo quelques minutes seulement après l’avoir prise, vous évitant le temps d’attente relatif au développement d’une pellicule au laboratoire.

Bien que les appareils photo numériques aient rétrogradé les instantanés dans la catégorie des antiquités, il n’en garde pas moins un charme indéniable et un plaisir unique à appuyer sur le bouton de l’obturateur et à assister, en direct, à l’apparition de l’image. Même pour les photographes qui ont passé des heures dans la chambre noire, ce processus possède toujours une part de magie. Certes, vous n’obtiendrez pas les couleurs brillantes et la large gamme de points forts et d’ombres d’un appareil photo numérique haut de gamme mais chaque impression est en soi un souvenir unique et susceptible d’être partagé.

Le Fujifilm Instax Mini 90 Neo Classic, pour qui ?

Idéales pour les fêtes, les mariages ou simplement les soirées dans votre bar préféré ou chez vous, les instantanés sont bien adaptés pour capturer des souvenirs de manière décontractée et inclusive. Leur format rend les gens, sujets des photos, bien plus à l’aise qu’ils ne le seraient avec un appareil photo reflex. Ajoutez à cela le fait que ces photos ne peuvent être partagées sur Instagram ou Facebook d’un simple clic, et vos modèles seront heureux de poser en toute décontraction.

Comme leur design rétro, les fonctionnalités des appareils instantanés sont par essence limitées : pas de zoom, viseurs minuscules et moins précis à distance. Le film instantané n’est de plus pas spécialement bon marché, et vous ne bénéficiez pas d’un aperçu à l’écran avant la prise… La photo instantanée, c’est un plongeon dans l’inconnu ! Or, ces « défauts » participent du charme même de l’appareil : tant que vous n’aurez pas appuyé sur le déclencheur, vous ne saurez jamais à quoi pourra ressembler votre photo… Un appareil photo instantané garantit l’unicité et la spontanéité à chaque prise. Le souvenir même de la prise fait partie intégrante des photos obtenues, bien plus qu’un simple fichier au format JPEG anonymement noyé parmi d’autres sur votre ordinateur.

En revanche, si vous estimez ces limitations rédhibitoires ou inconfortables, un appareil photo numérique classique vous conviendrait mieux.

Nos critères de sélection

Depuis 2013, nous avons comparé la facilité d’utilisation des appareils instantanés, la qualité de leurs images et leurs caractéristiques techniques, en les mettant à l’épreuve dans une variété de conditions, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Nous devions répondre à plusieurs interrogations : que se passe-t-il lorsqu’un photographe opte pour un Polaroid lors d’un rassemblement ? Est-il pratique et ludique de faire de telles photos dans un évènement d’entreprise ou un dîner en famille ? A quoi doit-on s’attendre en termes de résultat final ?

Notre choix

Le Fujifilm Instax Mini 90 Neo Classic est le meilleur appareil photo instantané grand public, pour les nostalgiques comme pour les néophytes qui découvrent le plaisir particulier des photos analogiques. Les options supplémentaires de prise de vue permettent aux photographes expérimentés de devenir plus créatifs. Les images que vous obtenez sont fidèles, agréables, dotées de couleurs plus précises et aux détails plus fins que les appareils concurrents et le tout – cerise sur le gâteau – dans un design rétro à la fois compact et durable. Dégainez cet appareil devant une assistance et vous verrez les visages s’illuminer. Le Mini 90 est la touche vintage qui les fera craquer.

Vos souvenirs vont sortir de là !

Le Mini 90 procure les meilleures photos de tous les appareils instantanés que nous avons testés, avec des couleurs plus vives et plus de détails ; vous pouvez même obtenir plus d’ombre que dans les photos d’autres appareils de la gamme Instax. Si un appareil instantané offre des photos uniques, il est bon de savoir que le film n’est pas ce que l’on peut considérer comme bon marché. Le Mini 90 produit des images fidèles en plein mode automatique, permettant même à un utilisateur novice de trouver plaisir à manipuler cet appareil.

En plein jour ou dans des cadres lumineux, le mode automatique du Mini 90 offre une qualité d’image cohérente et généralement précise en termes de couleur. Des contrôles d’exposition et de création supplémentaires permettent de composer des couleurs et des détails à votre convenance, même dans les situations les plus difficiles. La nuit ou dans des intérieurs faiblement éclairés, avec le flash intégré et le mode « Party » activé, l’appareil photo parvient à capturer le sujet et le fond ambiant. Et contrairement aux autres modèles de la gamme Instax, le Mini 90 vous permet également de modifier la sortie du flash.

De tous les appareils photo que nous avons testés, le Mini 90 est le plus facile et le plus agréable à utiliser. Tous les contrôles sont aisément accessibles des deux mains. Le viseur offre une approximation assez proche de l’impression finale ; dans nos tests, ce n’est que lorsque nous nous sommes rapprochés de la distance recommandée du mode macro (soit de 40 à 60 centimètres) que l’alignement n’était plus parfait.

En forme de porte-monnaie en cuir pour homme (mais en plus épais), le Mini 90 rétro-stylisé ressemble aux appareils photo numériques de la série X de Fujifilm, avec son design plus proche de celui des appareils numériques modernes typiques. En main, l’appareil photo se tient bien mais ne semble jamais lourd – au point qu’il pourrait certainement survivre à une chute modeste. Avec des dimensions 91,9mm x 113,4mm x 57,2mm, il est suffisamment maniable et léger pour être tenu d’une seule main, et s’insère facilement dans un sac à dos, un sac à main ou même, une grande poche de manteau.
Le Mini 90 dispose de plus de commandes manuelles que n’importe quel autre appareil instantané étudié. Outre le cadran d’alimentation et de mode, vous pouvez contrôler tous les réglages via cinq boutons signalés par des icônes facilement reconnaissables, situés à l’arrière du Mini 90. Les boutons sont larges et légèrement incrustés, ce qui les rend faciles à presser. Le bouton L/D (plus foncé/plus clair) vous permet de sous- ou surexposer l’image ; d’autres icônes sur l’écran LCD signalent si vous filmez en mode macro, double exposition ou paysage. Il offre également un mode d’exposition à l’ampoule qui permet de laisser l’obturateur ouvert pendant 10 secondes (bien que vous deviez appuyer physiquement sur le déclencheur tout le temps, ce qui rend la stabilisation de l’appareil plus ardue, d’autant plus qu’il n’a pas de trépied). En effet, dans la plupart de nos tests, le Mini 90 s’est avéré meilleur laissé par défaut en mode auto, même si nous avons constaté que l’option manipuler une scène était utile dans des conditions de faible luminosité.

Avisé, Fujifilm a ajouté une batterie lithium-ion rechargeable pour le Mini 90, le même type de batterie que l’on retrouve dans de nombreux appareils photo. Fujifilm avance qu’une batterie complètement chargée est suffisante pour environ 100 photos, un chiffre variant selon la fréquence d’utilisation du flash. Dans nos tests, la durée de vie de la batterie n’a jamais été source de préoccupation durant le tournage, plusieurs cartouches de film ayant même été utilisées dans un mélange de lumière du jour et de faible luminosité le soir. Et avoir une batterie rechargeable est aussi un moyen d’économiser de l’argent à long terme.

Fujifilm Instax Mini Instant Film est généralement disponible dans tout magasin spécialisé. Le lot de 10 films coûte 10 euros, soit 1 euro l’unité. Garder des souvenirs vivants n’est pas gratuit…

Qui partage notre choix ?

Les appareils photo instantanés ne reçoivent pas autant d’attention que leurs homologues numériques. De ce fait, trouver des informations pertinentes et des sources fiables était une tâche pour le moins ardue. Néanmoins les avis sont là et tous se conforment aux conclusions de notre test. Le Fujifilm Instax Mini 90 Neo Classic est sans discussion l’appareil instantané à se procurer.
Acclamé sur Amazon, notre meilleur choix a reçu l’excellente note de 4,4 étoiles sur 5 sur 96 avis, dont la majorité écrasante lui a attribué 5 étoiles sur 5. Les commentaires sont tous positifs et qualifient l’appareil d’ « excellent », « génial » ou d’ « appareil à rendre les gens heureux ». Un acheteur, fort convaincu de son investissement, a résumé les atouts de cet appareil en « Un look rétro, des photos au format carte de crédit, parfait dans un portefeuille. Pour le prix, il ne faut pas hésiter. ».
L’équipe de CnetFrance a apprécié l’Instax Mini 90 Neo Classic, d’une part pour sa prise en main agréable et d’autre part, pour sa valeur ajoutée en termes de modalités de prise créatives et diversifiées. Elle a tout autant salué la batterie rechargeable dont est doté notre meilleur choix, soulignant que « celui-ci embarque une batterie rechargeable. Les seuls consommables nécessaires sont donc les films. ».
Des défauts loin d’être dissuasifs
La forme carrée de Fujifilm Instax Mini 90 Neo Classic peut entraîner une prise en main maladroite, principalement parce qu’elle n’offre aucune prise en son milieu, ni sur le côté. Ce défaut peut être incommodant en mode ampoule, qui oblige à maintenir le volet sans relâche. En outre, un harnais sur le fond du corps de l’appareil peut le rendre bancal quand posé sur une surface plane. Il s’agit d’une bizarrerie de conception, d’autant plus que Fujifilm aurait pu facilement placer la boucle sur le panneau de droite.
La concurrence
Fujifilm n’a aucun souci à se faire sur ce plan : notre meilleur choix étant un produit de niche, le nombre de concurrents pertinents capables de rivaliser avec l’Instax Mini 90 Neo Classic se comptent sur les doigts d’une main. Nous avons néanmoins trouvé trois modèles pour notre test – notre premier choix inclus. Outre l’Instax Mini 90 Neo Classic, se distinguent l’Instax Mini 8 (de Fujifilm aussi), adapté en cas de budget serré, et le Leica Sofort si votre budget dépasse les quelque 130 euros nécessaires à l’acquisition de l’Instax Mini 90.
Si vous recherchez un appareil instantané basique pour prendre les photos de votre prochaine fête sans vous perdre dans des options de créativité superflues, le Fujifilm Instax Mini 50S vous est destiné, avec ses impressions de qualité et son coût attractif – environ 63 euros moins cher que notre meilleur choix au moment où ces lignes sont rédigées. Le Mini 50S utilise le même film que l’Instax Mini 90 Neo Classic mais perd en qualité d’image par rapport à ce dernier, n’a pas autant de commandes manuelles et possède des batteries CR2.

Le comparatif des deux Fujifilm (crédits CnetFrance)

Bien qu’il soit solidement construit, le Mini 50S est plus brillant en plastique que rétro-cool comme le Mini 90. Il a moins de contrôles pour notre choix principal, avec seulement trois boutons permettant la compensation d’exposition, flash de remplissage ou mode paysage, plus un minuteur. Mais cette conception maintient l’opération encore plus simple.
Dans nos tests, la plupart de ses tirages semblaient un peu moins saturés et détaillés que les images du Mini 90, les tirages sont peu importants, une qualité d’image légèrement inférieure est compensée par des contrôles plus simples et un prix plus bas.

Notre choix à petit prix

Alors le Mini 50S est moins cher, le Mini 90 offre une flexibilité plus créative et il est plus facile de recharger la batterie du Mini 90 plutôt que de chercher des batteries CR2 pour le 50S.
La célèbre marque de caméras de luxe Leica plonge ses doigts dans des caméras instantanées avec le Leica Sofort. Alors que le prix du Sofort a moins de zéros que nous l’avons vu sur un autre équipement Leica, il en coûte plus cher que la plupart des autres appareils photo instantanés. Considérant que le Sofort est similaire à l’Instax Mini 90 dans ses caractéristiques et que la seule différence notable soit le design de l’appareil et une prise en main plus agréable, nous ne pensons pas que le point rouge de Leica justifie de payer 150 euros de plus.

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La guerre fait de plus en plus rage entre Apple et son Mac OS d’un côté, et Microsoft avec Windows de l’autre. Une guerre longue de plusieurs décennies et sans merci, dans laquelle les deux géants déploient de plus en plus d’efforts pour arracher de précieuses parts de marché. Et voilà que dans ce duel, s’incruste, lentement mais sûrement, un nouveau protagoniste qui s’érige même en alternative valable sur quelques points. Cet acteur, mesdames et messieurs, n’est autre que Google doté lui aussi de son propre système d’exploitation, ChromeOS. Se voulant une alternative sérieuse et plus économique qu’un PC ou un MacBook, le géant de la Silicon Valley a mis au point son propre système d’exploitation, certes encore imparfait pour tous les types d’usage. Au fur et à mesure de leur disponibilité, les Chromebooks suscitent un engouement grandissant. Aussi avons-nous commencé à faire notre petite enquête sur internet et à tester différents modèles pour trouver les meilleurs Chromebooks du marché français. Et croyez-nous : cette nouvelle technologie possède beaucoup d’atouts pour vous conquérir et vous faire basculer de l’autre côté de la force.

Qu’est ce qu’un Chromebook ?

Les Chromebook sont des ordinateurs portables qui tournent sous le système d’exploitation de Google, Chrome OS. Ce nouveau système, gratuit et open-source, permet à des machines bon marché de devenir rapides et performantes, tout en garantissant une très bonne autonomie. Cet OS se veut extrêmement léger et minimise les processus qui tournent en tâche de fond, ce qui explique que les Chromebook offrent une fluidité et une rapidité sans pareil même pour les premiers prix.

Qui devrait acheter un Chromebook ?

Les Chromebook ne peuvent effectuer toutes les tâches d’un Windows ou d’un Mac. Pensé et conçu avant tout pour naviguer sur le web et regarder films et séries en streaming, ChromeOS est un système d’exploitation qui gère l’essentiel de ses tâches en ligne, dans le cloud très sécurisé de Google. Les Chromebook constituent des rapports qualité/prix imbattables et c’est ce qui fait un peu leur charme ; mais vous devrez auparavant réfléchir à l’utilisation que vous en ferez avant de songer à en acheter un. Si vous recherchez une machine d’appoint pour exécuter quelques tâches rapides en ligne, ce système est fait pour vous ; en revanche, si vous attendez de votre appareil qu’il fasse du montage vidéo, installe une flopée d’applications et permette de jouer à des jeux vidéo, passez votre chemin : les Chromebook ne sont tout bonnement pas faits pour ça.

Or, la majorité des utilisateurs prennent leur ordinateur pour naviguer sur quelques sites web, consulter leurs réseaux sociaux et streamer des vidéos sur le web, autant d’opérations pour lesquelles les Chromebook excellent. Naviguer sur Chromebook est en effet extrêmement rapide et plaisant, les pavés tactiles offrent un confort plus qu’appréciable. Si vous utilisez votre ordinateur essentiellement à des fins de divertissement et que vous recourez rarement aux applications spécifiques, un Chromebook représenterait pour vous une excellente alternative.

Les avantages d’un Chromebook

Nombreux sont les avantages de ce nouveau système d’exploitation signé Google. En premier lieu, les Chromebooks sont mis à jour automatiquement toutes les six semaines et donc, dotés des ultimes améliorations de performance et de sécurité tout en recevant un lot de nouvelles fonctionnalités. Contrairement à un ordinateur d’entrée de gamme sous Windows, qui s’alourdit avec le temps, votre Chromebook sera optimisé et encore plus fluide.

En deuxième lieu, les Chromebooks disposent de très peu d’espace de stockage interne mais jouissent en contrepartie du cloud de Google. Avec l’achat d’un de ses appareils, Google vous offre 100Go pendant 2 ans, en plus des 15 Go proposés d’office sur votre compte Google. Clairement, 115Go sont largement suffisant pour stocker un grand nombre de fichiers. Même si cela peut vous sembler bizarre au début, le cloud contient plus d’avantages qu’il n’en a l’air. Disposer de ses documents en ligne garantit une certaine pérennité et sécurité, d’autant plus que vous pouvez commencer à rédiger un ficher texte sur votre Chromebook et de le poursuivre plus tard sur votre smartphone : vos documents documents vous suivront partout.

Enfin, les Chromebook sont légers et dotés d’une durée de batterie conséquente ce qui leur amplifie leur mobilité. Cerise sur le gâteau, la connexion Wifi est bien meilleure que la majorité des autres ordinateurs portables, aussi trouverez-vous toujours un modem pour vous connecter à Internet où que vous soyez.

Comment choisir son Chromebook ?

Les Chromebooks sont des machines particulières qui commencent à faire leur trou sur le marché des ordinateurs. Néanmoins, pour qu’un Chromebook soit considéré comme bon, nous les avons confrontés à certains critères clés pour vous proposer notre sélection.

Le premier critère sur lequel nous nous sommes basés n’est autre que le prix qui, à lui tout seul, justifie l’existence des Chromebooks. Car Google les a créés avant tout pour fournir une excellente fluidité et rapidité sans porter préjudice à votre porte-monnaie.

D’ailleurs en parlant de rapidité, tout bon Chromebook se doit d’être vraiment rapide, en particulier lors de la navigation web et de toute opération exécutée en ligne. Les pages doivent se charger en un clin d’œil et l’ouverture simultanée de plusieurs d’onglets ne devrait pas constituer un frein. La rapidité d’exécution est le critère qui démarque ChromeOS des autres systèmes d’exploitation. Le système d’exploitation de Google permet d’exploiter au maximum les performances du processeur et de la mémoire vive des machines sur lesquelles il est installé. Le système étant beaucoup plus léger que Windows, un Chromebook se lance en 5 secondes à peine.

La qualité matérielle est le dernier point sur lequel nous avons insisté lors de nos tests. Contrairement aux ordinateurs portables sous Windows, les Chromebooks ne sont pas censés sacrifier leur qualité matérielle sur l’autel du prix. À n’importe quel niveau de prix, tout Chromebook qui se respecte se doit d’être de bonne qualité sur tous les plans, c’est-à-dire concernant l’écran, le clavier et le pavé tactile, le design et, bien sûr, la qualité sonore.

Nos coups de cœur

Après des heures de recherches sur les forums ainsi que tests effectués par notre équipe et nos amis, nous avons pu trouver les perles rares de ce nouveau marché. Ces modèles brillent par leur prix, leurs qualités et leurs atouts. Même si le choix reste vôtre au final, nous vous recommandons vivement d’élire parmi ces trois modèles.

L’Acer Chromebook 14 pouces a décidément tout pour plaire

Le premier modèle à nous avoir impressionné est l’Acer Chromebook 14’, avec son prix fort attractif et ses atouts plus que convaincants. Son boîtier en aluminium et son design gracieux prouvent que malgré un prix plancher, un Chromebook peut se montrer aussi classe qu’un bon Windows. Pour la modique somme de 350 euros, il offre un écran 1080p, 4 Go de Ram et un processeur Intel Celeron, rien de mieux pour assurer des performances excellentes et rendre ce modèle alléchant. Pour finir, cet ordinateur s’est avéré extrêmement mobile et pratique pour les plus nomades d’entre vous. Ce joli Chromebook dispose d’une autonomie record de 12 heures, d’une excellente connectivité et d’un clavier plus qu’honorable. Que demande le peuple ?

La portabilité en une image

Si vous avez envie d’un Chromebook nomade et réversible, nous vous recommandons sans aucune hésitation l’Asus C100PA-FS0002. Disposant d’un écran tactile de 10,1 pouces, ce Chromebook pourra vous servir autant d’ordinateur portable que de jolie tablette. Son écran tactile n’est pas la seule bonne chose que nous ayons constaté avec ce modèle : même son clavier est d’un confort inégalable, un véritable régal pour un produit polyvalent et conçu pour répondre à tous vos besoins. Avec 4 Go de Ram et une configuration technique plus que satisfaisante, l’Asus C100PA-FS0002 arrive aisément à faire tourner les derniers jeux Android tout en affichant un prix extrêmement compétitif. Cerise sur le gâteau, ce Chromebook est gracieux à travers son design en aluminium. La classe à petit prix !

À mi-chemin entre notre premier et notre deuxième choix tout en réunissant le meilleur des deux, l’Acer Chromebook R13 est le parfait compromis entre une excellente tablette et un ordinateur puissant. Il s’agit d’ailleurs du modèle le plus cher que nous avons choisi, du fait de son adaptabilité et ses possibilités. Le R13 opte en première ligne pour la solidité en proposant un design en aluminium, tout en étant parfaitement mobile et robuste pour résister à une multitude de situations. Au-delà de sa solidité, ce modèle réversible offre une excellente réactivité, d’une part avec une très bonne combinaison clavier/pavé tactile et, d’autre part, avec un écran tactile hautement réactif et agréable à l’oeil (1920×1080 pixels). L’Acer Chromebook R13 constitue le summum de la polyvalence, pour les usages les plus diversifiés. Profitant d’une configuration technique pointue pour un Chromebook, il permet de faire fonctionner plusieurs jeux Android sans poser le moindre problème. Même s’il est plus lourd que notre précédent choix, vu son écran de 13 pouces, et d’un prix plus élevé que nos deux premiers coups de cœur, nous vous recommandons vivement cet appareil si vos moyens le permettent. L’Acer Chromebook R13 est un excellent mini-investissement pour un ordinateur fusionné à une tablette.

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Le Canon Powershot SX720 HS est sans conteste l’appareil photo numérique que nous recommandons à tous les amoureux de photographie qui souhaiteraient franchir un nouveau palier après celui de leur smartphone, sans chercher à tout prix à maîtriser la complexité d’un DSLR ou d’un appareil sans miroir. Fort d’un zoom qui passe de 30x à 40x et d’une évolution côté design qui lui donne plus de caractère, le reste des fonctionnalités est semblable à son prédécesseur, le Canon Powershot SX710 HS, à savoir un BSI CMOS de 20,3 Mpx et, bien évidemment, le support de Wi-Fi et de NFC.

 L’hyperzoom 40x de notre meilleur choix

Alliant configuration, design et zoom honorable (entre autres atouts) et malgré quelques défauts, le Canon Powershot SX720 HS demeure notre premier choix et se place au premier plan sur ce créneau, se positionnant devant l’Olympus Tough TG-4 ou le puissant appareil photo compact Sony DSC-HX90V. Si vous avez envie de mettre à niveau vos compétences en photographie, d’avoir un appareil photo compact léger et ergonomique afin de prendre vos photos de voyage ou même vos sorties avec vos enfants au parc tout en ayant la garantie du meilleur rapport qualité-prix, une netteté et une qualité d’image honorables avec le nouveau zoom 40x, vous choisirez notre coup de cœur, le Canon Powersoot SX720 HS. Le LSX720 HS offre la combinaison la plus convaincante de fonctionnalités à un prix de lancement jamais vu, ce qui en fait la valeur sûre dans la catégorie des appareils de poche de moins de 350 euros.

Nos critères de sélection

Aujourd’hui, les appareils photo haut de gamme sont définis par la capacité de capture des images de meilleure qualité celle de votre smartphone, combiné à un design suffisamment petit pour que vous puissiez toujours le transporter. Ils couplent des capteurs de grande taille avec des objectifs zoom à large ouverture, le tout dans un contenant qui glisse facilement dans une poche. Sachant qu’une recherche sur Fnac pour les appareils photo compact affichera 1645 résultats, la caméra idéale doit être capable de capturer un large éventail de points forts et d’ombres sur une seule image, de sorte que vous ne perdiez pas les détails se nichant dans les ombres d’un arbuste ou la texture unique d’un nuage. Dans ce guide, nous avons porté notre attention sur les modèles ne dépassant pas les 600 euros, les modèles d’un prix supérieur revêtant souvent des dispositifs spécialisés. Là où votre smartphone vous lâche – en cas de faible luminosité, de sujets en mouvement rapide ou de prise de vue nocturne avec flash –, ce type d’appareil photo prend la relève.

Les appareils que nous avons testés disposent de capteurs 1 pouce qui représentent 4 fois la zone d’image constatée dans un iPhone. Un plus grand capteur peut saisir plus de lumière, ce qui conduit à des images plus détaillées, surtout lorsque vous prenez des photos dans la nuit. Un plus grand capteur permet également de plus de fond flou-faible profondeur de champ est le terme technique lorsque vous tirez à des larges ouvertures.

La vitesse de l’objectif est une mesure de la quantité de lumière que la lentille peut laisser entrer par une ouverture donnée : plus l’objectif est rapide, plus l’ouverture est large et plus il est léger. Avec plus de lumière disponible, vous pouvez prendre des photos à des valeurs ISO inférieures avec moins de flou ou à des vitesses d’obturation plus rapide pour geler le mouvement du sujet, comme lorsque votre enfant joue un match de foot par exemple.

La montée ISO du SX720 HS est très proche de celle de son prédécesseur. Normal, puisque rien n’a changé hormis le zoom qui prend de l’amplitude en passant de 30x à 40x et qui équivaut désormais à un 24-960 mm f/3,3-6,9. Ce compact conserve cependant le même capteur CMOS rétroéclairé d’une définition de 20 Mpx, le même processeur DIGIC 6 que le SX710 HS et la même plage ISO – qui s’étend de 80 à 3200 ISO. Canon continue donc la course au gros zoom et augmente la polyvalence de son appareil : un parti pris pour séduire ceux qui désirent voyager léger et photographier aussi bien des paysages grand-angle qu’extraire un détail d’une scène très éloignée.

Comme aucun appareil photo compact n’est aussi mince qu’un smartphone, nous avons privilégié les appareils vous pourriez au moins mettre dans la poche d’une veste. Limitant ainsi nos recherches aux appareils avec grands capteurs, zoom avec ouverture rapide et un degré raisonnable de capacité, n’a subsisté qu’une poignée de modèles, de marques Canon, Nikon, Panasonic et Sony.

Notre Choix

Le Canon Powershot SX720 HS est facile à utiliser : il offre un menu intuitif et tourne des vidéos avec une résolution Full HD en 30 fps (et non en 60 fps), tout en alliant une très bonne image (ISO allant de 80 à 3200) pour son zoom 40x. Bien que beaucoup de ses rivaux puissent l’égaler voir le dépasser sur un ou plusieurs de ces aspects, le SX720 HS offre la combinaison la plus convaincante de ces caractéristiques à un prix de lancement inférieur à celui de la concurrence.

La prise mini-USB, commune à la plupart des smartphone, est un plus

Particulièrement compact, le Canon Powershoot SX720 HS introduit un nouveau design par rapport à son prédécesseur, le SX710 HS, en délaissant les formes arrondies de ce dernier afin de reprendre les lignes plus sobres et élégantes du Canon Powershoot SX610 HS. Nous retrouvons d’ailleurs les couleurs phares de Canon, le rouge et le noir. Cet appareil se démarque par son noir anthracite, particulièrement réussi. Ce design réinventé rend notre premier choix agréable à prendre en main et qu’on agrippe mieux que la série Sony RX100 par exemple.

Ciblant les débutants en photographie, cet appareil est doté d’une assistance intelligente pour le cadrage, pratique pour l’utilisation du zoom 40x. Notre premier choix intègre une prise mini-USB 2.0 standard, fortement appréciable car cette prise, commune à la plupart de nos smartphones, facilite le rechargement de l’appareil.

Le SEX720 HS est facile et rapide à utiliser, en grande partie grâce à son interface intuitive, non tactile certes mais facile à maîtriser. Le SX720 HS met 1,90 secondes pour démarrer, acceptable car il déploie un zoom remarquablement puissant. Les autres chronos sont satisfaisants pour un compact zoom à 40x. il s’avère aussi très correct dans de bonnes conditions en extérieur qu’en faible luminosité, avec seulement 0,4 seconde d’attente – un temps meilleur que le T270 comme l’a remarqué Les numeriques lors de son propre test.

Les images tournées avec le SX720 HS sont très bonnes, avec beaucoup de détails et des couleurs raisonnablement réalistes. Encore une fois, le SX720 HS n’est pas un un appareil révolutionnaire, rappelant par bien des traits des modèles précédents de Panasonic, Sony et Canon. Le SX720 HS est notre meilleur choix car il offre une intéressante combinaison de fonctionnalités à un prix satisfaisant.

Les analystes de Les numeriques ont été impressionnés par l’optimisation du temps de latence entre deux images, de l’ordre de 0,83s et qu’ils qualifient de « bien au-dessus de tous ses concurrents directs », ajoutée aux quelques centaines d’euros que vous pourriez économiser en achetant le SX720 HS.

Dans une optique de course au gros zoom, Canon a conservé son capteur CMOS rétroéclairé de 20 Mpx et du même processeur DiGIC 6 que le SX710 HS. Visant les nomades qui veulent voyager léger, Canon a misé sur le zoom afin de réaliser des paysages grand-angle.

Transférer vos images n’a jamais été aussi facile

Doté du Wi-Fi et d’une puce NFC dynamique, ces avantages clés facilitent le partage de photos et le pilotage à distance via une tablette ou un smartphone. Sa fonction « Image Sync » permettra d’archiver les photos et les vidéos réalisées et de transférer facilement des images vers le cloud, comme la solution Iris de Canon. Le PowerShot SX720 HS pourra également être piloté à distance, une fonction utile pour photographier la faune sauvage sans la perturber.

Prêt à dépenser plus ?

Le Canon Powershoot SX720 HS est un excellent appareil pour quiconque veut voyager sans être lesté par un DSLR, tout en conservant une qualité satisfaisante lors de prises grand-angle. Mais que faire si vous avez déjà un appareil photo décent ? Devriez-vous passer à une version supérieure ?

Si vous avez un Canon PowerShot SX710 HS, il n’est pas pertinent de remiser votre appareil étant donné qu’il dispose de caractéristiques similaires, hormis le zoom qui a été amélioré pour passer de 30x à 40x.

Il faudrait penser à changer d’appareil, en revanche, si vous ne sortez à cause de son encombrement. Si vous avez un Canon Rebel qui accumule la poussière au fond d’un tiroir, peut-être vous devriez sauter le pas une caméra sans miroir (mirrorless).

Qui partage notre choix ?

François Giraud, de Zone-numérique, a testé l’appareil et le qualifie du compact « le plus fin et le plus puissant de [ses] compacts superzoom ». D’ailleurs son zoom, pouvant atteindre les 20x en s’aidant de la fonction zoom numérique, et sa capacité à tourner des vidéos Full HD allant jusqu’à 60fps permet de capturer des séquences stables, notamment grâce à son stabilisateur d’image sur 5 axes qui permet tout autant le cadrage dans des angles inhabituels.

Les numerique n’a pas hésité à mettre le SX720 HS en première position dans la catégorie meilleur rapport qualité/prix pour l’acquisition d’un appareil photo compact. Déplorant ses quelques petits défauts sur lesquels nous reviendrons par la suite, Céline Nebor l’a qualifié d’appareil de « qualité honorable » lors des prises grand-angle avec le grand zoom, tout en soulignant ses temps de latence impressionnants et son design induisant une prise de main rapide et efficace.

Les clients sur Amazon lui ont accordé en moyenne de 4,2 étoiles sur 5, dont la majorité 5 étoiles sur 5. Tous s’accordent sur le fait que cet appareil fournit une excellente image et un grossissement tout aussi pertinent. Un client l’ayant acheté il y a peu est satisfait des dimensions et de la prise en main de l’appareil, d’autant plus que la qualité des prises est époustouflante compte tenu de sa petite taille. Selon ses dires, le Canon SX720 HS n’est « que du bonheur ».

Des défauts loin d’être dissuasifs

Bien que le Canon SX720 HS soit le premier choix de notre rédaction, nous ne pouvons oublier de mentionner quelques défauts constatés lors de son test rigoureux.

Le plus gros inconvénient du SX720 HS est bien entendu l’écran non tactile et non orientable, des fonctions existantes chez la plupart de ses concurrents à l’instar du Panasonic Lumix TZ100 ou encore le Sony DSC-HX90V. Néanmoins, ces deux appareils coûtent nettement plus chers que notre premier choix, qui les surpasse également avec son zoom remarquable et son rapport qualité-prix.

La non-existence d’EVF est un manque flagrant que nous avions soulevé avec le SX720 HS, étant donné son utilité lorsque l’éblouissement rend l’affichage de l’écran arrière de l’appareil difficile. Comme cet appareil cible essentiellement les voyageurs cherchant à allier bonne image et ergonomie de transport, le SX720 HS demeure le meilleur sur ce plan.

Céline Nebor de Lesnumerique.com remarque que la qualité en mode vidéo reste semblable à celle du SX710 HS, c’est-à-dire un Full HD avec 60 fps contrairement à ses concurrents pouvant filmer des vidéos 4K comme le TZ 100. Mais nous avons remarqué que la plupart des acheteurs de notre premier choix sont satisfaits avec la qualité des vidéos, puisque cet appareil a été pensé pour conjuguer bon prix et fonctionnalités impressionnantes.

S’il ne produit pas de photos en format RAW – destiné essentiellement aux logiciels de traitements d’image spécialisés – cela ne constitue pas un défaut en soi : le SX720 HS ne vise pas les professionnels mais plutôt les personnes cherchant à emmagasiner des souvenirs ou à les partager directement sur les réseaux sociaux sans passer par la case du traitement avancé et complexe des photos.

La concurrence

Sur la douzaine d’appareils compacts avec capteurs 1 pouce et objectifs zoom analysés, nous avons sélectionné 2 autres prétendants hormis notre premier choix : le Panasonic Lumix TZ100 et le Sony DSC-HX90V.

Le Panasonic Lumix TZ10 propose d’indéniables et séduisants atouts : vidéo 4K, viseur électrique et écran tactile. Cet appareil a imposé un nouveau standard de qualité, comme l’avait Sony avec son RX100 en 2012.

Son capteur type 1″ et son zoom 10x lui permettent de prendre de très bonnes photos et l’écran tactile n’est pas déplaisant en termes d’accessibilité et de maniabilité. Toutefois, cet appareil coûte presque le double de notre premier choix sans chasser sur le même territoire du fait de son zoom réduit. Le SX720 HS atteignant jusqu’à 80x comme nous l’avons mentionné, vise les paysages et la légèreté contrairement à son concurrent. La différence de prix considérable nous a poussé à opter pour notre premier choix, qui allie les meilleures fonctionnalités dans sa niche au meilleur prix.

De son côté, le Sony DSC-HX90V est suréquipé dans le marché des compacts zoom 30x, proposant au sein d’un appareil très compact un viseur électronique, un écran tactile et orientable garantissant une maniabilité optimale de l’appareil. Malheureusement, cette optimisation se traduit par un prix surélevé par rapport au SX720 HS, notre premier choix. Le DSC-HX90V coûtant 100 euros de plus que notre premier choix tout en étant dépourvu du grand plus de notre appareil, c’est-à-dire son fameux zoom 40x qui a séduit nombre de ses utilisateurs et qui leur est de la plus grande utilité lors de leurs prises de vue en voyage. De même que pour le Panasonic TZ100, le Sony DSC-HX90V perd la course contre le SX720 HS à cause du rapport qualité-prix et de la niche visée par Canon. Nous avons préféré le super zoom, la qualité de l’image et la qualité des vidéos du SX720 HS eu égard à leur optimisation pour les voyages et les souvenirs qu’ils permettent de rassembler pour un prix des plus alléchants.

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Après 50 heures de recherches et plus d’une quinzaine de tests, le vainqueur n’est autre que l’époustouflant Sony Alpha 5100, dont le capteur rivalise avec certains appareils photo reflex et doté d’un système d’autofocus hybride hautement performant.

Ce petit hybride possède un capteur super performant

L’A5100 offre le parfait équilibre entre capacités, facilité d’utilisation et qualité des photos. Doté de nombreuses spécifications comme le modèle haut de gamme de la nouvelle série Alpha de Sony, mais à un prix nettement inférieur, l’A5100 offre des performances optimales, capturant des images nettes et de haute définition.

Pour un prix attractif par rapport à la concurrence et une performance digne d’un appareil photo DSLR, le Sony A5100 est l’appareil photo sans miroir qu’il vous faut pour développer votre potentiel de photographe et dépasser le stade du smartphone.

A qui s’adresse-t-il ?

Vous désirez améliorer votre photographie et franchir le palier suivant mais vous vous sentez limité par l’appareil photo de votre smartphone ou le modèle point-and-shoot que vous avez utilisé ? Ou vous estimez que le reflex numérique (DSLR) que vous avez acheté est encore trop intimidant et volumineux ? Un modèle sans miroir (mirrorless) pourrait être justement la transition que vous recherchez. Ce type d’appareil photo offre beaucoup de possibilités en termes de préparation automatique afin que vous puissiez commencer immédiatement à photographier, tout en disposant d’une polyvalence suffisante pour le contrôler manuellement et tester de nouvelles lentilles. Sans oublier sa qualité impressionnante, qui dépasse de loin votre smartphone ou votre appareil photo point-and-shoot.

Faut-il garder votre ancien appareil ?

Le Sony A5100 est un excellent appareil pour qui vient de se lancer dans la photographie plus avancée ou qui veut prendre de bien meilleures photos. Mais que faire si vous avez déjà un appareil photo décent ? Devriez-vous le mettre à jour ou franchir le pas ?

Nous estimons qu’il serait intéressant de changer si vous ne sortez jamais votre appareil photo reflex (DSLR) parce que ses dimensions vous impressionnent ou que vous craignez de ne pouvoir le manipuler. Si vous avez un Canon Rebel qui accumule la poussière au fond d’un tiroir, peut-être devriez-vous passer à l’appareil sans miroir (mirrorless).

Si vous avez un appareil mirrorless, d’autres variables entrent alors en jeu, à commencer par votre éventuel investissement dans un système de lentilles. Si vous avez dépensé des centaines de dollars sur les lentilles Micro Four Thirds, il n’est pas raisonnable de passer à un appareil E-mount. L’âge de votre hybride compte aussi, car de grands progrès ont eu lieu ces 2 ou 3 dernières années en termes de qualité d’image et de vitesse de focalisation. Les appareils sans miroir (mirrorless) de première génération ont pris un coup de vieux.

Nos critères de sélection

Même si les appareils photo sans miroir (mirroless) d’entrée de gamme s’adressent souvent à de nouveaux utilisateurs, nous demandons encore beaucoup de leur part : l’appareil devrait être en mesure de capturer de belles photos. Cela signifie qu’à basse lumière, les photos doivent être nettes et claires. L’appareil idéal doit saisir un large éventail de points forts et d’ombres sur une seule et même image, de sorte que vous ne perdez pas les détails dissimulés dans les ombres d’un arbuste ou la texture unique d’un nuage. La lentille qui l’accompagne doit être de qualité décente afin que l’appareil prenne de bonnes photos dès sa première utilisation.
L’appareil doit être maniable, léger et transportable, des atouts que les sans miroir (mirrorless) possèdent contrairement aux reflex. Un bon appareil sans miroir (mirrorless) d’entrée de gamme devrait permettre aux nouveaux utilisateurs de photographier sans appréhension dès l’ouverture de la boîte, et fournir une transition facile de « l’appareil toujours à disposition » (c’est-à-dire, votre Smartphone) à un appareil qui en fait plus. Là où votre smartphone peut vous lâcher – faible luminosité, sujets en mouvement rapide, prise de vue nocturne avec flash –, ce type d’appareil photo prend la relève.
La navigation dans le système de menu doit être facile, avec un écran tactile tout aussi réactif que celui de votre téléphone. Il doit également rester à jour avec votre smartphone en termes de connectivité et, comme vous pouvez l’imaginer, être en mesure de prendre des selfies.
Et le tout, pour moins de 600 euros. Avec en bonus, une batterie à la durée assez longue pour une journée entière de prises de vue et quelques belles fonctionnalités supplémentaires comme les panoramas et les modes créatifs.
Nous avons examiné toute la gamme des appareils photo hybrides (mirrorless) actuellement disponibles à moins de 600 euros et en avons éliminé beaucoup car être trop chers (comme le Panasonic Lumix G80), pour avoir des spécifications ordinaires (comme le Nikon 1 J5 récemment annoncé) ou par manque d’un grand système de lentilles (comme Samsung NX Mini).

L’écran tactile et orientable est un avantage appréciable de notre coup de cœur

Le Sony A5100 est le meilleur appareil sans miroir pour les nouveaux utilisateurs car il prend de superbes photos pour 450 euros (sur Amazon). Par rapport à la concurrence, il offre une qualité de photo supérieure tout en étant plus facile à utiliser dès la première prise en main, avec des fonctionnalités comme un guide intégré à l’appareil spécifiquement conçu pour les photographes novices.

Nous avons apprécié la taille compacte du A5100, ses capacités d’autofocus, ses vitesses de prise de vue élevées, ses capacités impressionnantes à faible luminosité, son écran tactile à haute résolution et très réactif, sa connectivité Wi-Fi et NFC, ainsi que le large choix de lentilles offert.
La série Alpha remplace la série NEX, qui comprenait notre choix précédent, le Sony NEX-5T. L’A5100 s’inscrit entre le modèle encore plus basique A5000 et le Sony haut de gamme sans miroir (mirrorless), l’A6000. Pour beaucoup moins cher, l’A5100 offre les meilleures caractéristiques de l’A6000 dans un design compact, y compris un grand capteur APS-C de 24 mégapixels, un processeur puissant et un système d’autofocus hybride.

Quel est l’avantage d’avoir un capteur de cette taille ? De manière générale, plus le capteur est grand, meilleure est la qualité d’image car les gros capteurs peuvent saisir davantage de détails fins, une plus grande gamme de tons foncés et des lumières sans pertes. Le capteur A5100 s’est très bien distingué, se montrant presque aussi performant que celui de l’A6000. L’a5100 a un capteur comparable au capteur dans un DSLR, ce qui signifie qu’il a une qualité d’image assez similaire. Ainsi, cette caméra prendra les images au même niveau qu’une grosse et volumineuse caméra DSLR mais dans un paquet beaucoup plus petit.

Dans les tests scientifiques effectués par Lesnumeriques, le capteur CMOS APS-C de 24 Mpx est irréprochable de 100 ISO à 1600 ISO et à moins d’être obsédé par les tirages très grand format, même les 3200 ISO conservent une qualité exceptionnelle. En comparaison, l’Olympus E-PL7 commence à perdre de la qualité à l’ISO 873 et le Panasonic GF7 à ISO 718 (basé sur le Panasonic GX7, qui a le même capteur). Par rapport à la concurrence, ce plus grand capteur signifie que le Sony A5100 fonctionne mieux en basse lumière, proposant des images plus propres à des ISO plus élevées que les autres appareils, avec moins de tâches et d’étalements connus sous le nom de «bruit». Dans nos tests, le Sony a réalisé de bonnes performances lors d’un tournage la nuit autour de Paris, avec réduction du bruit de la caméra.

Une des caractéristiques les plus impressionnantes de l’A5100 est son système d’autofocus. Comparé à d’autres appareils photo, il couvre davantage encore que la zone que vous photographiez et dans les détails les plus fins par rapport à ses concurrents. Autrement dit, il peut saisir plus facilement les plus petits détails quand ils se déplacent d’un côté à l’autre du cadre. Il dispose d’un système d’autofocus hybride de 179 points couvrant 92% de la trame, le même que l’A6000 plus coûteux, que DPReview a appelé le « premier de la classe ». Vous constaterez que le Sony A5100 passe moins de temps à « chasser » un point de focalisation et que plus que ce que vous essayez de prendre une photo de sera au centre, plus souvent, ce qui fait vraiment toute la différence quand il compte, Comme lorsque vous essayez de prendre cette photo de votre fils entrain de jouer au foot rapidement. INCOMPREHENSIBLE

L’A5100 est livré avec un kit de lentilles et une puissance de zoom 16-50mm f / 3.5-5.6. Le flou de l’arrière-plan est assez satisfaisant, certes pas aussi performant que les appareils photos reflex beaucoup plus onéreux mais nettement meilleur que les meilleurs smartphones du marché. Sans doute, cet appareil est l’outil parfait pour passer au stade supérieur.

L’A5100 se glisse facilement dans une poche ou un petit sac. A peu près aussi large qu’un paquet de cartes, et à la plus grande partie de la poignée, aussi épais que deux ponts empilés (mais généralement plus mince), il clame le titre de « plus petit appareil photographique à objectifs interchangeables et capteur APS-C du monde ». Sa finition soignée et son gainage simili cuir digne des meilleurs boîtiers experts nous a beaucoup séduit. Son poids est idéal : léger, vous pourrez vous balader avec toute une journée sans qu’il se montre encombrant.
L’A5100 est une étape naturelle pour le photographe de smartphone qui veut améliorer ses photos. Là où même le meilleur smartphone échoue – faible luminosité, photographie flash, sujets en mouvement rapide comme votre enfant en pleine partie de football – l’A5100 se révèle tout à fait à la hauteur… tout en offrant les fonctionnalités que vous appréciez sur votre smartphone : portabilité, écran tactile à haute résolution et réactif, interface utilisateur simple. Et bien sûr, vous pouvez toujours réaliser et uploader vos selfies sur vos réseaux sociaux.

Vous pouvez également vous amuser avec les filtres, car l’A5100 offre plus d’une douzaine d’effets d’image semblables à ceux disponibles dans nos smartphones, tels que Toy Camera ou Retro. Notre premier choix permettra aux photographes débutants de continuer à affiner leurs compétences tout en explorant la vaste bibliothèque de lentilles de Sony, même si le kit de lentilles est un excellent point de départ, offrant déjà le zoom optique mqui fait défaut à votre téléphone.

Le A5100 est spécifiquement destiné à un public d’utilisateurs de smartphones prêts à jouer dans la catégorie supérieure. Il offre tout ce qu’un appareil devrait offrir : le guide à l’intérieur de la caméra (le point d’interrogation situé à l’arrière du boîtier de l’appareil photo) offre des conseils et aide à la prise de vue, en appuyant simplement sur un bouton. Comme un mini-manuel d’instructions au dos de l’appareil, cette fonction est destinée aux débutants, avec des conseils pratiques comme le réglage de la saturation pour obtenir des couleurs plus profondes.
Si vous souhaitez enregistrer de la vidéo, l’A5100 prend en charge le codec XAVC S, qui permet la vidéo 1080p à 60 ou 24 images par seconde. Ce qui signifie que vous pouvez enregistrer des vidéos de très haute qualité, de meilleure qualité que la plupart des reflex numériques (DSLR) et même mieux que le grand frère, le Sony A6000. Vous pouvez également enregistrer simultanément une plus petite version MPEG-4 pour une publication instantanée dans les médias sociaux en attendant d’éditer vos plus importants fichiers vidéo chez vous. Le Sony A5100 est le seul appareil photo hybride capable de produire un résultat aussi époustouflant à un prix accessible et les excellents outils fournis par Sony constituent un bonus des plus bienvenus. Nous ne le répéterons jamais assez : cet appareil est la bonne affaire que vous recherchiez.

Qui partage notre choix ?

Adrian Branco, de 01Net, décrit notre premier choix comme « petit et plaisant à utiliser », ajoutant que « le Sony A5100 profite d’un capteur reflex aux performances vraiment excellentes ». D’ailleurs il n’a cessé de vanter la qualité impressionnante des photos, utilisables jusqu’à 6400 ISO. Vous êtes donc prêt à photographier pour tous usages familiaux et même professionnels.

Lesnumeriques, après avoir testé notre premier choix, confirment la qualité de cet appareil en lui attribuant la note de 4 étoiles sur 5. Ils le qualifient de « bon petit hybride, harmonieux, facile à utilise et délivrant une jolie qualité en photo et en vidéo ».

Pour leur part, les clients d’Amazon ont attribué une note globale de 4,2 étoiles sur 5, la majorité lui ayant octroyé la note maximale de 5 étoiles sur 5. Les personnes l’ayant acheté en ont été très satisfaites, même les critiques les plus violentes ont évoqué la qualité exceptionnelle de son autofocus, l’impeccabilité de ses vidéos et la durée de charge exceptionnelle de sa batterie. Notre premier choix recueille ainsi l’unanimité.

Des défauts loin d’être dissuasifs

La connectivité Wi-Fi et NFC est maintenant standard pour cette catégorie d’appareils photo sans miroir clairement conçue pour attirer les utilisateurs de smartphones. Mais lors de nos tests, nous avons constaté qu’il restait encore beaucoup à faire : la plupart des caméras sans miroir (mirrorless) nécessitent un peu de travail pour se connecter et sont loin de la sélection illimitée d’applications et la connexion directe à l’internet offertes par les smartphones.
Nous avons eu du mal à nous connecter au Wi-Fi avec le Sony A5100 mais il semble que ce problème ne soit pas si répandu. Sony s’appuie sur une bibliothèque d’applications appelée PlayMemories que vous installez sur votre appareil photo pour pouvoir ajouter des fonctionnalités concernant l’édition, le partage, le tournage et plus encore.
Une fois l’application PlayMemories installée, vous pouvez envoyer des images directement sur votre smartphone, tablette ou ordinateur, puis sur le réseau social de votre choix et/ou sur le système PlayMemories Online de Sony. Vous pouvez également contrôler l’appareil photo à distance via votre smartphone ou lire vos images sur un téléviseur connecté au réseau. Notre question : pourquoi avoir introduit l’étape supplémentaire des applications propriétaires de Sony ? Nous sommes tellement habitués à interagir directement avec nos réseaux sociaux existants en partageant des images qu’être freinés par une étape intermédiaire en devient frustrant.
Vous pouvez utiliser votre bibliothèque d’applications existante pour modifier vos images une fois que vous les aurez transférées sur votre smartphone ; mais là encore, cette étape supplémentaire est gênante.

S’il paraît minuscule, le flash intégré offre vraiment un rendu décent dans ce type d’appareil. Les photos que nous avons prises de nos amis le soir, sous faible luminosité, sont étonnamment bonnes, bien meilleures que si nous les avions prises à l’aide du flash de n’importe quel smartphone. Ce qui confirme le classement de cet appareil qui vous inspirera et nourrira vos rêves de photographe.

Malgré notre appréciation du bouton d’aide de l’Alpha5100, nous aurions aimé une amélioration des instructions, face à la complexité de certaines pour les débutants visés par le modèle. Un appareil photo hybride qui cible une telle niche se doit d’avoir un langage simple et des contrôles intuitifs.

Nous aurions apprécié de pouvoir recharger les batteries séparément

La durée de vie de la batterie de l’A5100 est honorable pour sa catégorie – environ 400 images par charge –, à comparer aux 350 photos de l’Olympus E-PL7 ou aux seulement 230 du Panasonic GF7. Toutefois, la batterie de Sony doit être chargée via USB. Si vous voyagez, vous pouvez utiliser tout chargeur USB à disposition pour recharger votre appareil. D’ailleurs, un chargeur séparé pourrait s’avérer encombrant parmi vos affaires et vos valises. Le revers de la médaille : vous ne pourrez pas alimenter une batterie de rechange dans un chargeur pendant les prises de vue.

La concurrence

Notre premier concurrent, Le Panasonic Lumix GF7

Le Panasonic GF7, dans la même fourchette de prix, a été mis hors course malgré ses nombreuses fonctionnalités brillantes, loin de fonctionner aussi bien que promis – notamment le mode portrait en douceur de la peau ou les modes créatifs. La courte durée de vie de la batterie – évaluée à 230 photos par charge par rapport aux 400 prises de vue de notre premier choix – s’avère également rédhibitoire.

Également dans la même fourchette de prix, le Panasonic Lumix GX80 offre de très grands atouts à l’instar de la vidéo 4K, de la réactivité haut vol et de son obturateur très silencieux. Néanmoins, ses nombreuses qualités sont loin de suffire comparé au Sony A5100 : son autonomie relativement faible et le manque de prises casque et micro lui font perdre la course face à notre coup de cœur.

Le design du Sony A3000 est plus encombrant que celui du A5100

Nous avons également considéré d’autres concurrents de la série Alpha de Sony, y compris le Sony A5000 à 400 euros et l’ancien DSLR mirrorless Sony A3000, disponible maintenant à environ 270 euros. Pour seulement 100 euros de plus environ, le nouveau A5100 offre un capteur de résolution plus élevée (24 mégapixels contre 20), un système d’autofocus exceptionnel (179 points de mise au point contre 25), des capacités vidéo supérieures (l’A5100 surpasse même la version A6000 quand il s’agit d’enregistrement vidéo haute qualité), un écran tactile de plus haute résolution (921×600 points contre 460×800) et un mode rafale époustouflant (6 images par seconde contre 3,5).
La taille compacte de notre premier choix et sa puissance impressionnante, alliées à un prix attractif, font de lui le meilleur investissement pour aiguiser vos compétences en photographie et réveiller le photographe qui sommeille en vous.

Prêt à dépenser plus ?

Si vous en avez les moyens, nous vous conseillons d’opter pour le Fujifilm X-T2, un appareil redoutable avec ses multiples fonctionnalités et sa puissance qui rivalisent avec les meilleurs appareils photo reflex disponibles sur le marché. Néanmoins, cet appareil souffre d’une autonomie trop juste malgré un grip optionnel et une puissance remarquable. Les options telles que le grip, la vidéo 4K et toute l’artillerie à bord de cet appareil propulse son prix jusqu’à atteindre 1397,69 euros chez PriceMinister. Un budget autrement plus élevé comparé aux 449 euros qu’il vous faudra débourser pour acquérir notre premier choix qui, rappelons-le, est épatant en termes de performances.

Le puissant Fujifilm X-T2… mais au prix exorbitant

Le Sony Alpha 7 II offre une option alternative si votre budget dépasse les 1000 euros. Son boîtier plaisant et polyvalent, la qualité de ses images, éblouissantes, et la possibilité de recycler d’anciennes optiques de différents constructeurs, forcent l’admiration. Néanmoins, vous devrez débourser 1271,60 euros pour vous offrir ce petit bijou.

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Nous adorons les jeux vidéo, et même si le gaming sur ordinateur rimait longtemps avec les imposants ordinateurs de bureau que certains assemblaient tout seuls, le gaming sur portable est un phénomène qui commence à prendre de l’ampleur. Malgré quelques inconvénients en cours de traitement, les ordinateurs portables pour adeptes de jeux vidéo sont là et permettent de profiter des dernières perles dans de très bonnes conditions. Si vous avez envie que votre ordinateur vous suive un peu partout pour disposer de vos jeux préférés, nous vous avons concocté ce guide qui vous permettra de choisir votre futur compagnon de jeu. Rappelez-vous que quelques critères changent avec cette catégorie.

Rien de plus important que la carte graphique !

 Le noyau de tout PC gamer

Tout mordu de jeux vidéo sur ordinateur sait que grâce à son PC de bureau, les possibilités sont presque infinies car toutes les composantes peuvent être changées et améliorées. C’est malheureusement loin d’être le cas sur ordinateur portable, les possibilités de modifications étant plus limitées : vous serez en mesure d’ajouter de la Ram, un SSD ou de changer de disque dur, rien de plus. Sachez par conséquent qu’il vous sera impossible de changer la carte graphique ; aussi, concentrez-vous sur ce critère si vous avez envie d’une machine qui perdure et qui, après quelques mois, pourra se révéler à la hauteur des jeux récents sans s’essouffler. L’investissement lié à un ordinateur portable orienté gaming dépend en grande partie de la carte graphique, son élément moteur.

Les autres critères de sélection

Si nous pouvons citer deux autres critères clés lors de nos recherches, nous choisirions le processeur et l’écran.

Le processeur est la partie vitale de tout ordinateur qui se respecte. Mais que choisir entre l’Intel Core i5 et l’Intel Core i7 ? Honnêtement, votre budget est le seul à pouvoir trancher cette question : au-delà des 1500 euros, c’est presque forcément un i7 et en deçà des 1200 euros, forcément un i5. Tous les modèles que nous avons sélectionnés sont dotés de processeurs i7. Nous avons cherché et testé les modèles les plus résistants sur la durée, et les i7 devancent leurs petites sœurs – de loin.

La taille de l’écran est un critère incontournable des plus subjectifs et personnels, les dimensions variant de 14 jusqu’à 17 voire 18 pouces. Votre choix sera effectué selon vos besoins et votre budget ; n’oubliez pas cependant que plus l’écran est grand, plus l’encombrement et le transport de l’ordinateur seront handicapants.

Afin qu’il remporte les suffrages auprès des gamers, un ordinateur doit être le fruit d’une très bonne alchimie, c’est-à-dire d’une configuration équilibrée avec un processeur de 16 Go de mémoire minimum, une très bonne carte graphique, un disque dur SSD, sans oublier un écran de résolution et dimensions satisfaisantes. Ajoutez à cela le fait que l’appareil doit être silencieux et bien ventilé afin de garantir la longévité de ses composants et vous l’aurez compris, concevoir un ordinateur portable de gaming est loin d’être une sinécure.

En parlant d’écrans, certains fabricants proposent des PC portables équipés de dalles 4K brillantes. Nous vous les déconseillons vivement. Même si la définition d’image est éblouissante, les cartes graphiques, aussi puissantes soient-elles, ne parviennent pas à offrir un rapport performance-fluidité suffisant pour afficher autant de pixels. Nous vous conseillons en revanche les dalles Full HD mates, la définition et le revêtement idéaux pour jouer sans arrêt.

Les claviers, pour notre plus grand bonheur, sont tous rétroéclairés sur cette catégorie de PC. L’agencement de la connectique est quant à lui primordial afin que les joueurs puissent déporter leur partie sur un écran externe, tout en connectant la fameuse souris pour gaming et le casque adapté sans aucune gêne ni encombrement avec les prises. Sur ce plan, certains ont beaucoup de travail à faire ! Concevoir un PC portable de gaming n’est pas une tâche facile comme nous l’avons mentionné plus tôt, c’est un parcours du combattant.

Nos choix

C’est connu : qui aime ne compte pas. Si vous avez envie d’un bon ordinateur portable pour vos jeux vidéo, il va vous falloir débourser un minimum de 2000 euros, un prix qui varie en fonction des composantes et de la configuration. Nous n’avons ici retenu que des modèles de plus de 2000 euros pour vous garantir un minimum de qualité de jeu et un appareil qui ne deviendra pas obsolète en quelques mois. Rappelez-vous que vous ne pourrez jamais upgrader la carte graphique une fois votre machine acquise : mieux vaut donc dépenser un bon coup dès le départ que de se retrouver avec un ordinateur inutile sur les bras moins d’un an après son achat…

Pour les bourses relativement serrées

Le portable gamer par excellence

Première entrée dans notre top et loin des moindres, le compact Gigabyte Aero 14, l’idéal pour jouer en toute mobilité. Petit mais puissant, aucun ordinateur ne rivalise avec lui quand il s’agit de transporter sa bibliothèque de jeux vidéo un peu partout. À 14 pouces, nous n’avons rien vu de mieux pour une si petite taille. Doté d’un processeur Intel Core i7- 6700HQ, de 16 Go de Ram et d’une énorme Nvidia GeForce GTX 1060, cet ordinateur ne risque pas de vous lâcher. Très utile même pour à des fins professionnelles, son design nous a étonné par sa sobriété. Un heureux constat car sur un marché où les ordinateurs portables orientés gaming font dans les lignes trop agressives et un rétroéclairage multicolore, ce modèle casse les clichés en proposant un modèle épuré et ô combien attirant. Proposé en quelques couleurs (vert, orange ou noir), sa physionomie respire la robustesse, le tout servi par un écran bien mis en valeur grâce à de petites bordures d’1 cm. Sans être parfait, notamment à cause d’un bruit assez fort pendant les parties intenses, une autonomie faiblarde (assez normal, comme vous le savez) et un stockage vite arrivé à saturation vu que les derniers jeux font au moins 50 Go, ce modèle reste une référence en matière de portables nomades pour gamer. Très intéressant cet Aero 14, vraiment très intéressant !

Le meilleur rapport qualité/prix

Une configuration XXL pour un prix assez doux

Dans un budget un peu plus « évolutif » et avec un écran plus grand, nous vous recommandons vivement l’Acer Predator 17X. Comme son nom l’indique, cette machine est un mastodonte en termes de configuration et représente un bon rapport qualité/prix. Cet ordinateur portable de taille conséquente (17,3 pouces) est doté d’une excellente Nvidia GeForce GTX 1080 : autant dire que faire tourner les jeux gourmands sur sa jolie dalle mate Full HD ne pose aucun problème. Le Predator 17X allie à ce magnifique chipset graphique un processeur i7-7700HQ , 16 Go de Ram et 256 Go en SSD couplés à 1 To de disque dur. D’ailleurs, la Ram peut être augmentée jusqu’à 64Go grâce à deux emplacements libres et facilement accessibles sous la machine. Cet appareil est bien aéré puisqu’il embarque non pas deux mais trois ventilateurs, deux à l’intérieur (un pour le processeur, l’autre pour la carte graphique) et un à l’avant, qui aspire l’air frais via la grille rouge visible sur la tranche avant de le propulser vers l’ensemble des composants du boîtier. Cette machine n’est pas vraiment destinée à être transportée à tout va car sa configuration XXL se traduit par un poids conséquent de 4,32 kg. À moins d’être aussi féru de musculation que de gaming, nous vous déconseillons de trop partir en vadrouille avec l’Acer Predator 17X. Le seul reproche que nous pouvons faire à ce modèle concerne l’absence de lecteur optique : même si nous vivons à l’ère du cloud et du digital, un lecteur est toujours plus que bienvenu surtout à un tel niveau de prix, élevé certes mais raisonnable comparativement à ses performances. Notons toutes fois que plusieurs versions plus onéreuses existent suivant la configuration ; nous nous sommes contentés de cette version et nous en sommes assez satisfaits. Que du bonheur pour ceux qui recherchent le meilleur rapport qualité-prix dans le domaine.

Pour les budgets illimités

La puissance dans toute sa splendeur

Si votre budget est sans limites et que vous souhaitez vraiment investir dans un monstre, nous avons trouvé le meilleur sur le marché, le légendaire MSI GT73VR. Si vous êtes à la recherche du PC portable le plus puissant possible (pour près de 3650 euros), que l’encombrement et la consommation électrique vous importent peu, cet ordinateur est tout ce qu’il vous faut. Le MSI GT73VR est simplement le plus puissant des portables gaming, avec son châssis imposant qui favorise la ventilation, une construction à toute épreuve et un look très sobre par rapport à ses concurrents. La connectique est tout ce qu’il y a de plus en pointe sur cet ordinateur avec cinq ports USB 3, un port USB 3.1/Thunderbolt 3 Type-C, un port HDMI, un mini-DisplayPort, un port Ethernet, deux entrées (ligne et micro) et deux sorties (ligne et casque) jack, ainsi qu’un lecteur de carte SD. On peut difficilement être plus complet ! Même si l’absence de lecteur optique, à ce nouveau de prix, est déplorable, la connectique a de quoi vous combler d’aise. Le châssis englobe une configuration inégalable : 32 Go de Ram, Intel Core i7-7820Hk, 1512 Go de disque dur répartis entre 1000 Go en disque dur et 512 en SSD, un écran 17,3 pouces Ultra HD et une merveilleuse Nvidia GeForce GTX 1080 ! Autant vous dire que cette machine ne sera pas du genre à vous lâcher au mauvais moment. Revers de la médaille : qui dit monstre dit encombrant. Pesant 4,14 kg et doté d’un chargeur massif de 1,1 kg, le MSI GT73VR est un PC loin de répondre au qualificatif de (trans)portable… Autre talon d’Achille, et de taille : une autonomie relativement faible avec 1 heure de jeu et pas plus de 3 heures en bureautique. Il faudra aussi vous accommoder d’un appareil plutôt bruyant en cours de partie en jeu et très gourmand en électricité – pas étonnant eu égard à la configuration. En dépit de tous ces défauts, cette machine représente la quintessence de la puissance portative en termes de gaming. Si vous adorez vos jeux et souhaitez investir sur le long terme, le MSI GT73VR est le modèle que nous vous recommandons sans aucune hésitation.

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Nous avons recherché les ordinateurs portables qui pourraient convenir à la plupart de vos usages. Polyvalents dans l’âme, nos choix vous permettront de jouer à des jeux moyennement gourmands, de faire du montage vidéo et de la retouche photo de temps à autre ou d’être utilisés de la manière la plus classique qui soit, c’est-à-dire checker vos feeds sur les réseaux sociaux, faire du traitement de textes ou des tableaux et visionner des vidéos.

Nous avons fait des recherches pour le moins extensives sur les forums et les sites spécialisés afin de trouver les modèles les plus appréciés du marché. A suivi l’étape des tests et de l’analyse de leurs performances, de leur configuration et de leur autonomie respective afin de distinguer la crème de la crème.

Résultat des courses : nous avons trouvé d’excellents modèles convenant à tous les goûts et surtout, à toutes les bourses. Du budget tout doux à l’illimité (ou presque), vous trouverez votre bonheur parmi nos choix. Nous vous conseillons toujours d’essayer par vous-même chaque modèle avant de l’acheter, sachant que des détails comme le confort du clavier sont on ne peut plus subjectifs.

Le coup de cœur de la rédaction

L’ordinateur portable qui nous a fait craquer n’est autre que le HP Spectre 13. Très design tout en délivrant des performances d’une qualité haut de gamme, ce modèle a tout pour séduire. D’une finesse incroyable – c’est l’ordinateur le plus fin que nous ayons testé, à 10,4 mm, impossible de faire mieux -, ce petit bijou renferme une configuration étonnamment puissante pour sa petite taille. Nous en avons testé la meilleure version, c’est-à-dire avec un processeur Intel Core i7-7500U, 512 Go en SSD et 8 Go de Ram. Il ne s’agit pas de la configuration la plus solide du marché mais c’est un appareil qui en a sous le capot et d’un poids plume de 1,11 kg (sans câble d’alimentation). HP a misé sur la finesse et la puissance davantage que sur un écran tactile et la connectique : notre choix ne contient que 3 ports USB-C situés à l’arrière afin de gérer l’alimentation et le transfert de données. Les ports centraux fonctionnent comme des ports Thunderbolt, garantissant ainsi un transfert à haute vitesse mais vous devrez vous y adapter et songer à acquérir des adaptateurs USB pour la plupart de vos usages. Particulièrement puissant, cet ordinateur nous a permis de faire du multitâche, de lire des vidéos et d’utiliser des applications de conception, le tout simultanément ! Côté autonomie, rien d’exceptionnel : notre choix tient 7h10 lors de notre test de Netflix sous Google Chrome, une performance peu exceptionnelle mais supérieure à la plupart des modèles concurrents. Son écran Full HD non tactile ne nous a pas déplu, sa dalle IPS offre une très bonne visibilité sous des angles extrêmes, délivrant ainsi une image claire et bien lumineuse. Pour conclure, le Spectre est un ordinateur portable visant la finesse et la classe malgré les compromis à accepter, à l’instar d’un écran non tactile et d’une connectique limitée. Si la finesse et la portabilité d’un ordinateur vous semblent plus utiles qu’un écran tactile, ce modèle est alors une référence. Des performances solides, un design original et une sobriété sans pareil, voilà en résumé le HP Spectre 13 la classe et la puissance.

Si vos moyens le permettent et que vous êtes plus fan de puissance que de finesse ou d’autonomie, le dernier Dell XPS 15 vous ira comme un gant. Avec sa configuration étonnement pointue, ce modèle est une référence en termes de performances. Ce bolide renferme sous son joli châssis en aluminium et fibre de carbone un Intel Core i7-7700HQ, 16 Go de Ram, 512 Go en SSD, NVIDIA GeForce GTX 960M et, pour sublimer le tout, un écran ultra HD de 15,3 pouces délivrant 3840*2160 pixels. Un écran qui frappe par la finesse de son cadre (5 mm sur les côtés et en haut) et dont le design attire l’œil tout en le mettant en valeur. Rajoutons-y une finition excellente et un angle de bascule de charnière généreux et vous aurez un des meilleurs designs du marché. Cet écran permet aussi au Dell XPS 15 d’être un des modèles de PC de 15 pouces les moins encombrants. Avec un poids de 1,9 kg et une épaisseur de 17 mm une fois refermé, il ne risque pas de vous abîmer l’épaule en déplacement. Son autonomie est loin de déplaire si nous considérons la puissance des composantes de cette machine et son écran UHD. Nous l’avons testé sous Netflix avec Google Chrome et nous avons obtenu le très bon score de 5h21. Si votre usage est plus polyvalent et bureautique, la performance peut atteindre 7h30 facilement. En revanche, si vous avez envie de jouer ou même, d’activer Nvidia Battery Boost, vous ne pourrez guère dépasser 1h30 – rien de plus normal considérant la consommation excessive induite par les jeux. C’est d’ailleurs en cas d’utilisation des jeux vidéo – et seulement dans ce cas – que nous avons entendu le bruit des ventilateurs installés pour refroidir la machine. Nous avons en outre constaté deux défauts avec ce modèle. Le premier concerne les haut-parleurs : même avec un son assez puissant, ils témoignent d’un manque cruel en basses. Le deuxième défaut réside dans le revêtement un peu salissant autour du clavier, malgré des touches bien espacées, rétroéclairées et au rebond satisfaisant. En bref, modèle des plus pratiques et des plus puissants du marché, le Dell XPS 15 est une véritable perle.

MacBook Pro 15 pouces, la puissance et l’autonomie

Impossible de parler d’ordinateurs portables sans citer Apple. Les produits du géant de Cupertino sont des bijoux technologiques incontournables. Si vous appréciez le système Mac OS et pour un budget très proche du Dell XPS 15, le dernier MacBook Pro 15 pouces ne vous laissera pas indifférent. Avec un design repensé, des mensurations réduites et une puissance qui n’a rien à envier à ses concurrents, ce modèle à la pomme représente une excellente combinaison. Si nous y ajoutons l’autonomie, qui bat tous les records, et le dernier Touch Bar, quelque peu gadget mais très bien intégré, vous avez là un très bon produit. Le châssis marque une refonte de design chez Apple : nous nous retrouvons face à un modèle compact et plus léger que les générations précédentes, sans pour autant sacrifier à la qualité de construction. Le niveau de finitions est lui irréprochable. Le tout respire la noblesse et la solidité. Le clavier a reçu quelques modifications, avec des touches plus plates, un toucher amélioré et un touchpad à la diagonale élargie à 18,5 cm et la fameuse Touch Bar qui nous a ravi malgré son aspect gadget. Mention spéciale au bouton d’allumage doté de la technologie Touch ID – fort pratique sur iPad et iPhone – qui permet de déverrouiller instantanément votre Mac et de gérer plus facilement les sessions grâce à la reconnaissance d’empreinte digitale. Cette technologie servira également à verrouiller plusieurs informations, à l’instar des notes, ou à effectuer des paiements sur internet.
Le MacBook est très silencieux même quand nous l’avons poussé à l’extrême, ce qui est surprenant quand on considère sa configuration plus que puissante ! Intel Core i7 i7-6700HQ quadricoeur, 16 Go de Ram et 256 Go en SSD, rien que ça ! Le géant de Cupertino ne plaisante pas avec les écrans et nous livre cette fois une dalle IPS brillante de 2880 *1800 pixels, un Retina bien connu de la marque qui diffuse des couleurs brillantes et équilibrées. L’i7 dont cet ordinateur est équipé ne nous a pas laissés indifférents. Le MacBook Pro est l’ordinateur rêvé pour tous types de tâches, de la retouche photo au montage vidéo en passant par la bureautique. Ne pesant que 1,83 kg pour 1,55 cm d’épaisseur une fois refermé, notre produit fétiche est très pratique à transporter. D’autant que vous n’utiliserez pas aussi souvent le chargeur, grâce à son autonomie de 9h37 (sous Netflix avec Safari), faisant de ce MacBook Pro le champion toutes catégories.
La seule chose qui nous a vraiment déplu dans cette merveille reste sa connectique, extrêmement limitée. Apple a sacrifié tous les ports possibles et imaginables au profit de 4 ports USB-C, censés faire office de connectique pour la recharge, le transfert de données ainsi que la connexion à un écran. Le lecteur SD a lui aussi disparu pour notre plus grand malheur, ce qui nous amène à vous conseiller d’investir dans un bon adaptateur pour éviter les galères ultérieurement. Malgré ce (gros) inconvénient, le dernier MacBook Pro 15 pouces reste une référence incomparable dans le milieu des ordinateurs portables : nous recommandons vivement à tout amateur de MacOS cette pure merveille !

À petite bourse, puissant modèle

Si vous cherchez un ordinateur puissant mais que votre budget n’est pas vraiment extensible, ne vous inquiétez pas : l’Acer Aspire VX15 est LA bonne affaire que nous recherchions depuis belle lurette ! Avec sa configuration puissante et son prix fort attractif, cet ordinateur portable se place d’office comme notre coup de cœur pour les budgets serrés. L’Aspire VX15 ne bénéficie pas de la sobriété de nos autres choix, avec son look d’ordinateur de gaming agressif, mais sa construction solide est irréprochable. S’il pèche par la finesse, l’ensemble demeure impeccablement assemblé et la finition de l’appareil est excellente. Très pratique à l’usage, le clavier rétroéclairé de l’Aspire VX15 offre des touches confortables et bien espacées, vous garantissant ainsi de longues séances de frappe confortables. Le touchpad procure une glisse agréable et précise tout en restant très large. La connectique est satisfaisante, avec deux ports USB 3, un port USB 3.1 Type C, un port HDMI, un port RJ45, un lecteur de carte SD et une prise combo Jack.

Afin de garantir le bon fonctionnement et la pérennité de ses composantes, l’Aspire VX 15 propose un système d’aération performant à l’arrière du châssis, qui limite les températures tout en restant silencieux. Même en poussant la machine dans ses derniers retranchements, nous n’avons perçu qu’un souffle sourd et diffus, très supportable.
L’Aspire VX15 bénéficie d’une configuration respectable pour son petit prix : il embarque un Intel Core i7-7700HQ, 16 Go de mémoire vive, de 256 Go en SSD avec un disque dur d’1 To et d’une NVIDIA GeForce GTX 1050. Autrement dit, la vélocité est acquise d’office. Quel que soit l’usage auquel vous le destinez, sachez que le VX15 offre un indice de puissance des plus élevés dans la catégorie des PC portables de format 15 pouces. Malheureusement, une telle configuration et un tel prix ne peuvent exister sans contrepartie. A commencer par le fait d’être peu pratique à transporter puisqu’il pèse 2,5 kg pour 3 cm d’épaisseur et que son chargeur est plutôt volumineux. Prévoyez un sac suffisamment grand et confortable pour tout loger et emporter. Honorable pour sa configuration et son prix, son autonomie (testée avec Netflix sous Google Chrome) atteint 4h32. L’écran, pour sa part, manque un peu de luminosité mais la dalle IPS mate de 15,6 pouces en Full HD offre un joli rendu quoique limité, ce qui nous incite à vous conseiller de l’utiliser dans un environnement fermé. D’un excellent rapport qualité/prix, nous estimons que l’Aspire VX15 pourra subvenir à tous vos besoins et constitue l’investissement idéal pour tout budget limité.

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Un drone requiert un certain temps pour la prise en main et la maîtrise du pilotage, afin de développer les bons réflexes et de déterminer le type de pilotage le plus adapté. Vous pourriez travailler des prises de vue inédites, manier votre mini-drone à l’intérieur ou ressentir des sensations extrêmes lors de courses immersives. Les drones que nous avons sélectionnés permettent un pilotage simplifié et assisté. Petits et abordables, nos meilleurs choix peuvent autant satisfaire votre gosse de 5 ans qui n’y connaît rien comme subvenir aux besoins d’un pilote confirmé en quête de l’aspect ludique.

Nos meilleurs choix :
– Pour un rapport qualité/prix indétrônable : Hubsan X4 H107C
– Le nano-drone à 19 euros : Cheerson CX-10
– La vidéo à petit prix : Syma X5C-1
– Le concentré d’adrénaline pour débutants : Hubsan FPV X4 Plus,

Pour un rapport qualité/prix indétrônable : Hubsan X4 H107C

Quelques caractéristiques techniques :

– Gyroscope à 6 axes
– Pads protégeant le moteur
– LED pour les vols nocturnes ou en faible luminosité

À seulement 40 euros, cet incontournable drone fait honneur à sa réputation. Nerveux et parfaitement stable, il saura accompagner les premiers pas des débutants comme les pilotes experts et endurants. Le Hubsan X4 H107C est vendu avec des hélices de rechange, sa batterie tient environ 8 minutes en vol, se recharge par USB et, cerise sur le gâteau, les pièces de rechanges sont très faciles à trouver en ligne ou en boutiques spécialisées.

Renfermant de nombreuses qualités, ce modèle conserve son statut d’incontournable et malgré quelques défauts, le Hubsan X4 H107C reste une valeur sûre pour ceux qui veulent s’initier à l’art de manipuler un drone sans trop investir et pour les pilotes confirmés en manque d’adrénaline. C’est un micro-drone facilement transportable, abordable et qui offre de bonnes sensations.

Le nano-drone à 19 euros : Cheerson CX-10

Quelques caractéristiques techniques :
– 3 vitesses de vol
– Prêt-à-voler
– Caméra VGA (640 x 480 pixels)

Vous avez bien lu, le Cheerson CX-10 est notre choix ultime pour un budget des plus serrés. Ce gadget possède des qualités étonnantes pour son prix et surtout pour sa taille, 42 x 42 mm pour moins de 13 grammes ! Il peut se glisser n’importe où. Ajoutez-y 4 LED pour les vols nocturnes ou en faible luminosité, un gyroscope à 6 axes et une mini-radiocommande fournie pour une portée d’environ 25 à 30 mètres et vous aurez un très bon modèle pour un prix riquiqui.

Ce joli modèle n’est certes pas exempt de défauts – le contraire eût été étonnant pour son prix, ridiculement bas. La batterie ne tient que 5 minutes mais se recharge en seulement 20 minutes. A savoir : la batterie n’étant pas amovible, vous devrez patienter le temps qu’il se recharge par USB. Il est enfin vulnérable au vent en raison de sa petite taille, un problème commun à tous les mini- et nano-drones. Néanmoins, ce modèle reste un must-have si vous avez envie d’un petit drone pour le salon et le bureau, pas cher et efficace.

La vidéo à petit prix : Syma X5C-1

Quelques caractéristiques techniques :
Carte mémoire de 2 Go fournie
Pilotage nerveux permettant de réaliser diverses figures
Prêt-à-voler

Si votre budget est un peu plus confortable et que vous désirez faire des vidéos honorables à petit prix, le Syma X5C-1 est le micro-drone de vos rêves. À seulement 44 euros, ce modèle est notre meilleur choix s’agissant de drones bon marché pouvant enregistrer en vidéo. Alliant design agréable, stabilité accrue et pilotage nerveux, ce micro-drone a de quoi se faire apprécier. Ce petit bijou enregistre des vidéos HD 720p et se contrôle jusqu’à 50 mètres, se démarquant ainsi de la plupart de ses concurrents. Ajoutez-y un pilotage agréable et la disponibilité des pièces de rechange sur le web et vous aurez un drone vidéo impressionnant pour la modique somme de 44 euros !

Nos tests sur le Syma X5C-1 ont mis en évidence quelques petits défauts : il ne résiste pas au vent, vu son format réduit et il faut le recharger pendant 1 heure voire 1h30 pour 6 à 7 minutes de vol. Cela reste correct pour cette gamme de drones mais nous aurions apprécié une batterie plus consistante et une durée de recharge plus rapide. Ce modèle est toutefois idéal pour ceux qui débutent avec les drones en vidéo. Une fois aguerri, vous devrez à vous tourner vers les drones vidéo de milieu ou haut de gamme pour satisfaire vos exigences.

Le concentré d’adrénaline pour débutants : Hubsan FPV X4 Plus,

Quelques caractéristiques techniques :
Moteur 0820 Coreless
Écran LCD 4,3 pouces
Émetteur 2.4 GHz à 4 voies

A 187 euros, ce modèle est de loin le plus coûteux de ce guide. Il se place comme alternative pour un budget sans contraintes mais ce choix ne vise que les débutants en drones vidéo, amateurs de courses ou en quête d’immersion quasi-totale à travers un écran sur la radiocommande. Doté d’un design soigné, d’une caméra pouvant filmer en HD 720p, d’un poids assez réduit (57 grammes), il offre un excellent rapport qualité/prix dans cette catégorie. L’abondance des pièces de rechange est un atout indéniable si jamais votre drone se crashe ou si les hélices doivent être remplacées. Ce modèle bat des records pour son prix avec une portée pouvant atteindre les 150 mètres !

Nous avons quand même relevé quelques pépins avec ce mini-drone.

D’abord son prix. Même si le rapport qualité/prix est excellent, 187 euros pour un mini-drone est un investissement qui nécessite réflexion, d’autant que les pièces consommables, notamment les hélices, sont assez fragiles. Nous avons remarqué au fil de nos tests qu’il faudrait toujours garder des hélices de rechange sous le coude, surtout quand vous l’utilisez. Son autonomie, respectable, est loin d’être exceptionnelle : 9 minutes de vol pour une 1 heure de recharge, le rapport n’est guère satisfaisant.

En bref, même si le Hubsan FPV X4 Plus n’est pas parfait, il demeure l’option idéale si vous débutez et voulez vous familiariser avec les mini-drones : les poussées d’adrénaline sont garanties, de même qu’un pilotage sensationnel.

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Dans un marché très dynamique et concurrentiel, l’embarras du choix existe en matière de drones mais rares sont ceux qui se distinguent par leur haute performance. Les produits que nous avons sélectionnés exigent un investissement plus conséquent que pour un mini-drone mais en contrepartie, ils offrent un autre niveau de pilotage et des prises de plans inédits. Grâce à leurs fonctionnalités nettement plus développées, ces drones assurent en termes de vol (décollage et atterrissage) tout en fournissant des clichés époustouflants.

À qui s’adressent ces drones ?

Comme nous l’avons signalé plus haut, les drones que nous vous présentons ici sont nettement plus chers que les mini-drones destinés aux débutants. Les drones vidéo sont conçus pour être utilisés tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Plus résistants que leurs petits frères, nos choix permettent de réaliser de très bonnes prises, bien plus stables et résistantes au vent. Rassurez-vous : vous en aurez pour votre argent. Un bon drone assure une portée pouvant atteindre des kilomètres pour les meilleurs, une durée de vol supérieure à 20 minutes et plusieurs autres fonctions utiles comme le GPS – qui permet le Return To Home, atout indispensable si jamais votre connexion s’interrompt à cause de la distance.

Un drone de qualité se doit de supporter une très bonne caméra embarquée voire, un appareil d’action de type GoPro Hero. Nous nous sommes alors concentrés sur les drones adaptés à ces exigences mais sachez que des accessoires permettent d’enlever l’appareil originel pour le mettre à niveau ou le remplacer. Cependant, la plupart des modèles n’est pas démontable ; vous devrez vous « contenter » de la caméra proposée par le fabricant.

Après des dizaines d’heures de recherches, de tests et de sélections, nous avons gardé ces drones pour leur fiabilité et leur excellence : les DJI Phantom 3 et le Parrot Bepop 2 pour des drones vidéos excellents et dans la limite de l’abordable ; les DJI Mavic Pro, DJI Phantom 4 et le dernier GoPro Karma pour des drones vidéos haut de gamme qui nous ont épaté. Finalement, DJI Inspire 2 et le DJI Matrice 600 ont été élus dans le très haut de gamme (et les très hauts prix).

Le haut de gamme abordable : Phantom DJI 3/Bebop 2

Avec la sortie des derniers modèles DJI (le Phantom 4 et le Mavic Pro), les incontournables Phantom 3 sont devenus beaucoup moins chers ! Ce drone haut de gamme est tellement populaire qu’il a été décliné en 3 sous-modèles : le Standard, l’Advanced et le Pro. Nous avons éliminé le Pro et l’Advanced, malgré leurs performances impressionnantes, à cause de leurs prix que nous considérons trop élevés pour être considérés comme abordables. Si votre budget dépasse les 850 euros nécessaires pour acquérir l’Advanced ou 895 euros pour le Phantom 3 Pro, nous vous recommandons d’investir dans un drone haut de gamme dernier cri à l’instar du Phantom 4, qui coûte environ 150 euros de plus que le Phantom 3 Pro.

Le Phantom 3 Standard est un modèle que nous recommandons à ceux qui veulent un très bon drone à un prix acceptable. À 500 euros, ce drone est notre meilleur choix dans cette catégorie : doté de plusieurs fonctionnalités utiles, cet appareil est prêt-à-voler via ses multiples modes de vol, prouvant ainsi sa polyvalence et son adaptabilité aussi bien aux débutants qu’aux pilotes chevronnés.

Le drone nous a impressionnés pour sa réactivité aux incidents de parcours. D’une portée par radiocommande allant jusqu’à 1 kilomètre, l’éventualité d’un incident entraînant la rupture de connexion est palliée par le Phantom 3 avec l’existence d’un GPS : la fonction « Return to Home » lui fait retrouver automatiquement son chemin et revenir vers un point de sécurité. En outre, le vol stationnaire est automatisé afin de vous éviter tout stress inutile. Ce modèle de drone possède une autonomie de 25 minutes et est doté d’une caméra extrêmement stable et nette, le tout avec streaming vidéo en HD sur vos appareils mobiles (smartphone et tablette). Si vous avez envie que votre drone vous suive et vous prenne en vidéo automatiquement, sachez que le Phantom 3 est précurseur en la matière car équipé de la fonction « Follow Me ».

Une alternative au Phantom 3 Standard que nous recommanderons est le Parrot Bepop 2, qui propose une tout autre approche. De fait, le Parrot a de quoi rivaliser avec le Phantom 3 tout en étant moins cher. Pesant 500 g (donc beaucoup plus léger que le Phantom 3), il utilise un processus de stabilisation logicielle efficace et ingénieux. La vidéo, en Full HD à 30 fps, enregistre et retransmet en direct à votre téléphone sur une portée de 300 mètres. Une portée qui peut aller jusqu’à 2 kilomètres en acquérant un Skycontroller – même si une portée de 300 mètres nous semble tout à fait correcte…

Le Skycontroller permet de brancher des lunettes de réalité virtuelle pour une immersion et des sensations maximales ! Outre le poids compact et le bon rendu, cet appareil possède plusieurs autres qualités indéniables à l’instar de sa vitesse horizontale de pointe de 60km/h et d’une mémoire flash de 8 Go. La caméra est orientable pour permettre une vision à 180 degrés et la durée de vol atteint 25 minutes – une performance au vu de son poids et de sa vitesse, excellente. À l’image de notre choix précédent, le Bebop 2 possède une fonction de retour automatique au point d’origine et d’un mode atterrissage d’urgence si jamais la connexion s’interrompt ou que l’appareil détecte un obstacle incontournable.

Nos deux choix n’offrent pas la même expérience ni les mêmes sensations lors du pilotage. Différents en dépit de qualités communes, ils procurent une très bonne expérience utilisateur et délivrent d’excellentes vidéos. Si votre budget avoisine les 500 euros, ces modèles feront sans aucun doute votre bonheur.

Le haut de gamme à la pointe de la technologie : DJI MAVIC Pro/GoPro Karma

Les prix du Phantom 3 n’ont pas baissé pour rien : la sortie du DJI Phantom 4 et le DJI Mavic Pro ont révolutionné le marché des drones, incomparables en termes de fonctionnalités et de performances époustouflantes.

Le dernier-né de la famille des DJI Phantom ne vous décevra pas. Non seulement ce drone dispose de toutes les qualités qui avaient fait du Phantom 3 un must mais il les transporte – c’est le cas de le dire ! – à un niveau supérieur, notamment en termes de détection d’obstacles. Nous l’avons choisi car il permet de prendre des photos et des vidéos en 4K et des vidéos 1080p Full HD à 120 fps (en d’autres termes, des vidéos en ralenti). Des prises impeccables grâce à des capteurs qui stabilisent la caméra en plein vol, même quand la celle-ci file à 70 km/h, la vitesse de pointe. Équipé d’une caméra avec champ de vision à 94 degrés, permettant de réaliser des photos grand angle et offrant un large choix de formats, le DJI Phantom 4 est l’investissement à consentir si vous recherchez un appareil facile à prendre en main et spectaculaire en termes de pilotage et de performances.

DJI n’est pas leader du marché des drones haut de gamme par hasard : hormis l’excellent Phantom 4, le Mavic Pro est une alternative impressionnante et rivalise avec notre précédent choix. Ce drone a de nombreux avantages : sa compacité impressionnante et sa structure solide et rabattable en font un bijou technologique facile à transporter. Notre choix possède une capacité de stabilisation d’image impressionnante, qui lui permet d’enregistrer des vidéos et des images 4K, le tout se glissant sans peine dans une poche de veste. Évolutif et facile à prendre en main, le Mavic Pro dispose d’un mode sport qui le transforme en appareil extrêmement nerveux mais rassurant pour les plus chevronnés d’entre vous. Notons que le Mavic Pro renferme un capteur d’obstacles pour éviter collisions et accidents en vol.

Côté défauts, nous ne pouvons pas reprocher grand-chose à nos deux choix, les deux nous ayant impressionné. S’il fallait en souligner un, disons que la fonction détection d’obstacles du Phantom 4 ne fonctionne que s’ils lui font face : si un obstacle surgit au-dessus, en-dessous, sur les côtés ou par derrière, votre drone pourrait entrer en collision. Par ailleurs, l’appareil s’avère encombrant quand on le transporte car le train d’atterrissage et la caméra sont fixés au corps du drone. Quant au Mavic Pro, il souffre d’une autonomie de 23 minutes, convenable sans plus mais susceptible de se réduire si le mode sport est activé. Côté prix, il reste cher mais représente un investissement sûr dans sa catégorie.

Nos deux choix possèdent de solides atouts et prennent d’excellentes images et vidéos, même si chacun présente des forces et des faiblesses. Le DJI Phantom 4 est plus stable en vol mais le Mavic Pro offre une compacité sidérante et des fonctionnalités impressionnantes pour sa taille. Nous vous recommandons le Mavic Pro si votre budget est un peu plus limité ; s’il dépasse le palier des 1100 euros, le Phantom 4 est la bonne affaire. Outre le prix, tout dépendra de vos préférences personnelles et de l’expérience que vous recherchez avec votre drone.

Nous avons aussi testé le GoPro Karma, lancé par la célèbre marque américaine pour pénétrer le marché des drones sans affronter DJI directement. Le Karma n’est pas un simple drone tout équipé mais davantage un système conçu autour de son produit phare, la GoPro Hero. Avec un design novateur, très plat et relativement compact avec ses bras repliés (365,2 x 224,3 x 89,9 mm), il demeure encore derrière le Mavic Pro en termes de compacité. Néanmoins, le Karma s’insère facilement dans un petit sac à dos. Agréable à piloter, ce drone a une autonomie de 20 minutes et une portée allant jusqu’à 1 km avec la télécommande. Un dernier avantage avec cet appareil est son logiciel de montage gratuit, Quick, proposé par GoPro afin de réaliser des clips amusants.

Malgré une vidéo satisfaisante en 4K (assurée par la notable GoPro Hero 5) et un retour vidéo 720p en direct, nous avons constaté un manque de fonctionnalités utiles comme le 3D tracking ou le Follow Me. C’est dommage car la concurrence propose ces options sans que l’écart de prix s’en ressente énormément. Nous avons aussi constaté quelques lacunes avec la caméra comparativement avec la concurrence : malgré un très bon rendu 4K, la caméra n’enregistre pas en 60 fps et n’embarque malheureusement pas de capteur 1 pouce, ce qui se traduit par beaucoup de déperditions de lumière. Nous avons apprécié ce drone et le conseillons à tous les habitués du géant américain des « action-cam ». Mais à 1000 euros et si vous n’êtes pas spécialement fan de GoPro, nous vous suggérons de privilégier le Mavic Pro ou le Phantom 4 – vous en aurez davantage pour leur prix.

Le très haut de gamme/drones pour professionnels : DJI Inspire 1 Pro

Si vous avez envie de prendre encore plus de hauteur et d’obtenir des images dignes d’une production cinématographique, attachez vos ceintures car les prix vont décoller. Le DJI Inspire 2 est notre meilleur choix : cet appareil représente un summum pour tout professionnel ou amateur fortuné. Avec une vitesse de pointe de 94 km/h et accélérant comme une fusée, ce drone possède des dizaines de capteurs d’obstacles et enregistre des vidéos 5,2K très stables grâce à son capteur micro 4/3 qui filme aussi en RAW (le même capteur que nous trouvons dans les appareils photo hybrides). D’ailleurs, avec une autonomie de 27 minutes et une portée de 7 kilomètres, les performances sont inégalables. Comptez tout de même pour tout cela… 5600 euros.

Et si l’Inspire 2 ne vous suffit toujours pas et que vous voulez être en mesure de filmer des vidéos aériennes tout en réalisant des plans cinématographiques, le drone nec plus ultra est le DJI Matrice 600 Pro.

Ce bijou n’a rien à voir avec le commun des drones : il a été pensé par des pros pour des pros, désireux de réaliser de très grandes productions. Il s’agit précisément d’un hexacoptère qui, contrairement aux drones traditionnels à 4 axes, lui confère la capacité d’embarquer des caméras 8K. Vous pourriez brancher à cette merveille technologique votre caméra professionnelle préférée et profiter ainsi de vidéos extrêmement stables grâce au système Ronin estampillé DJI. À 5222 euros (sans batteries supplémentaires ni caméra bien sûr), ce drone représente la quintessence de cette industrie en plein boom. Le Matrice 600 est cher mais qu’est-ce qu’il est doué !

Nous ne pouvons rien reprocher à ces deux drones hormis leur prix exorbitant mais tout à fait justifiables. Clairement, ces produits ne s’adressent pas aux amateurs de drones et aux adeptes du pilotage nerveux, ils visent avant tout les professionnels du cinéma et de la réalisation vidéo exigeant des plans exceptionnels. Des plans nécessitaient des drones conçues par les sociétés de production elles-mêmes, avant que DJI ne pallie le problème.

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Les fabricants ont bien compris l’enjeu de ce nouveau marché et comme tout gadget audio, leur offre s’est démultipliée, que ce soit en termes de forme, de taille et bien sûr, de prix. Passionnés comme vous de jeux vidéo et conscients de l’importance d’un tel achat, nous avons fait nos propres recherches approfondies puis testé différents modèles conçus pour une variété de budgets, afin de trouver pour vous le meilleur investissement à consentir pour optimiser vos chances et vos kills lors de votre prochaine partie.

Les critères d’un bon casque gamer ?

Un casque de gamer offre une multitude d’avantages : outre les caractéristiques techniques et le micro, ces gadgets doivent vous isoler du monde extérieur pour pouvoir jouer en toute discrétion, sans être dérangé ni déranger les autres. Vous pourriez passer la nuit à jouer sans gêner votre famille ou vos colocs qui dorment dans la pièce d’à côté !

Pour profiter de tous ces avantages et bien plus encore, le casque se doit d’être de bonne qualité. Nous avons dès lors insisté sur quelques points que nous considérons cruciaux.

Le confort est une des priorités quand il s’agit de choisir son casque de gamer car vous allez le porter pendant des heures d’affilée sans bouger de votre place, ni l’enlever. Nous avons constaté que de nombreux produits proposent des coussinets assez larges pour vous assurer le confort et l’isolation nécessaires. L’arceau est également un élément important à prendre en compte : il doit répartir de façon correcte le poids du micro-casque et généralement, les casques présentant des arceaux suspendus contribuent à offrir un excellent confort.

Deuxième point extrêmement important avec un micro-casque, le microphone. En mode multi-joueurs en ligne pendant des parties qui durent des heures, vous devez être en mesure de discuter sans problème avec vos coéquipiers et de bien les entendre. Certains micros sont rétractables et d’autres offrent une réduction de bruits environnants indispensable pour obtenir un son net.

La performance sonore est bien entendu un élément-clé de tout casque qui se respecte : à quoi sert un joli casque s’il ne délivre pas un son riche, précis et cohérent ?! Nous vous conseillons d’essayer différents types de casque avant d’en acheter un, afin de vérifier ce critère par vous-même. Sachez en effet que les fiches techniques peuvent vous aider mais elles restent relativement subjectives ; seules vos oreilles seront le juge suprême de votre futur accessoire.

Nos choix

Après plusieurs heures de recherches sur les forums et les sites d’experts, suivis de plusieurs tests dans des conditions plus que réelles et lors de parties relativement serrées – avoir un geek dans notre équipe n’a jamais été aussi pratique ! – nous avons réussi à mettre en évidence les meilleurs micro-casques pour gamers, adaptés à tous les goûts et à tous les budgets.

Le SteelSeries Siberia 650 est sans discussion notre meilleur choix pour un micro-casque orienté vers le gaming sur PC. Cet objet est impressionnant à plus d’un titre. Ses coussinets bien rembourrés et ses énormes oreillettes assurent un confort de port sans comparaison, et notre testeur n’a ressenti aucune gêne à s’en servir durant de longues heures lors d’une soirée Call Of Duty. Cette perle dispose aussi d’un logiciel performant permettant de régler les effets sonores et s’adapter ainsi à tous les goûts et les besoins. Une fois configuré, ce produit délivre une performance exceptionnelle avec une impressionnante qualité audio mais surtout une immersion totale dans le jeu. Le micro rétractable est tout aussi performant, permettant de transmettre un son incroyablement clair et précis. Nous regrettons que ce modèle soit principalement destiné aux PC car nous aurions bien aimé l’utiliser sur les consoles. Néanmoins, cela reste un produit exceptionnel et parmi les meilleurs que vous pourriez trouver sur le marché à ce niveau de prix.

Si vous aimez les jeux vidéo et voulez chouchouter vos oreilles sans penser à la dépense, ou si vous êtes un gamer pro et que vous avez besoin d’un matériel de professionnel, ne cherchez plus : l’Audio Technica ATH-ADG1X est le micro-casque à avoir et, à notre humble avis, le Saint Graal des micro-casques filaires.

Cette merveille est d’ailleurs un micro-casque ouvert, assez rare pour un objet qui se veut orienté vers le gaming car il laisse filtrer quelques bruits extérieurs. Les ingénieurs d’Audio Technica ont su contourner cette faiblesse pour créer un casque inédit qui délivre un rendu sonore inégalable et brillant, permettant une immersion hors normes. L’ATH-ADG1X est également le micro-casque le plus confortable que nous ayons essayé : grâce à sa légèreté et à ses larges oreillettes circulaires, notre testeur a pu remporter une très longue partie de Battlefield. Le microphone est également un grand avantage car il propose un son assez net et retransmet ce que vous dites sans distorsions ni bruits extérieurs. Ce bijou est d’ailleurs compatible avec le PC, la PS4 et la Xbox One. Malgré son prix un peu exorbitant pour le peu de fonctionnalités offertes, sa qualité relève du jamais-vu et nous le recommandons vivement à tout joueur qui ne voit pas à la dépense et à tout professionnel du milieu.

La qualité à petit prix

Nos deux premiers choix sont excellents à tous points de vue ; n’empêche, le prix peut être rédhibitoire pour plus d’un, mais ne vous avouez pas vaincu si vite ! Lors de nos recherches, nous avons pu dégoter deux très bons micro-casques à moins de 100 euros ! Nous sommes certes un peu loin de tout ce que nos premiers choix fournissent en termes de qualité mais ces micro-casques délivrent un très bon son à des prix relativement abordables.

La marque Logitech n’est plus à présenter. Largement diffusée chez les gamers ou même dans la bureautique, elle propose un large éventail de gadgets et d’accessoires. Le G430 a particulièrement retenu notre attention et fini par nous séduire. Ce micro-masque, bien pensé, est d’un bon rapport qualité/prix. Le confort est bel et bien présent avec un design dynamique : vous pourrez porter ce casque quelques heures d’affilées et vous immerger quasi totalement avec son Surround 7.1. Le seul petit reproche que nous pouvons formuler sur ce modèle concerne son design, un peu trop massif à notre goût mais qui devrait plaire à ceux qui aiment les accessoires imposants. Par ailleurs, les coloris, originaux, ne sont pas pour nous déplaire. Bref, une sacrée bonne affaire, ce Logitech G430.

Notre deuxième choix dans cette catégorie n’est autre que le Razer Kraken Pro et pour être honnêtes, nous ne pouvons parler de gaming sans parler de Razer. Cette célèbre marque, déjà connue pour ses souris pour gamer et autres accessoires, propose un micro-casque pour gamer et nous n’aurions pu espérer mieux à un tel prix ! Ce micro-casque a été acclamé par de nombreux joueurs et critiques grâce à son design remarquable et à ses performances sonores exceptionnelles, qui devraient ravir tout féru de FPS. Les basses sont bien mises en avant afin d’entendre explosions et autres coups de feu. Très confortable une fois posé, ses grosses oreillettes disposent d’un rembourrage suffisamment généreux pour que vous vous convertissiez en un no-life parfait, sans déranger ni être dérangé par qui ou quoi que ce soit. Le microphone quant à lui est tout aussi efficace pour se faire clairement entendre en pleine partie : vos acolytes vous entendront bien sans pour autant capter trop de bruits et nuisances externes.

Le sans-fil tout puissant

Comme vous l’avez sûrement remarqué, nous nous sommes concentrés sur les casques filaires au cours de ce guide. Nous avons toutefois essayé quelques modèles sans-fil et nous avons pu trouver une jolie perle : l’Astro Gaming A50. Ce micro-casque est époustouflant à tous les niveaux et mérite largement son prix élevé. L’A50 se démarque par un design fort raffiné et classieux, la qualité de sa conception est tout bonnement impeccable, les finitions sont excellentes et le confort bien évidemment au rendez-vous. En d’autres termes, vous avez là un casque dont vous ne vous séparerez que pour le recharger ! Il fonctionne parfaitement avec PC et PS4, mais malheureusement pas avec la Xbox. Malgré cela, nous en sommes fans. Ses larges oreillettes sont un véritable berceau pour les oreilles, qui bénéficient en outre d’un système d’ajustement inégalable. La performance sonore est pour le moins énorme grâce au Surround 7.1 de très bonne qualité et qui dit bon son, dit immersion totale dans ses jeux préférés. Que ce soit en solo ou lors d’une partie effrénée en réseau, ce casque vous projettera directement au cœur de l’action. Mention spéciale au microphone, excellent, qui permet une communication claire et précise avec toute la guilde ou la team. Un concentré de bonheur cet Astro A50, cher mais merveilleux !

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